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- GilgaladMaître floodeur
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Re: [Récit non WHB] Hells Island
Dim 5 Jan 2014 - 15:15
Les deux dernières suites sont intéressantes. Les fait que les gugusses sentent le pouvoir leur échapper est intéressant puisqu'on va se demander ce qu'ils vont faire pour le garder. L'introduction de l'escouade Charlie est plutôt bien faite. De même que les spécialistes qui changent d'armes.
Et vivement la suite ou sinon
Gilgalad
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- EssenSeigneur vampire
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Re: [Récit non WHB] Hells Island
Dim 5 Jan 2014 - 15:15
Haha. Je cherche dans ma tête une citation sur la soif de pouvoir, mais je n'en trouve pas. Peu importe, les deux rigolos se débrouillent pas trop mal pour l'instant, mais leur mauvaise foi, s'ils n'y mettent pas un terme à temps, leur fera perdre la tête et le soutien des autres.
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Re: [Récit non WHB] Hells Island
Dim 5 Jan 2014 - 15:20
Un vent de complot et de rébellion souffle sur le camp...
Les despotes vont-ils être destitués, ou vont-ils les mater dans un bain de sang ?
*Mode supporter on*
Elisa ! Elisa ! Elisa !
*Mode supporter off*
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- alexy999Loup funeste
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Re: [Récit non WHB] Hells Island
Dim 5 Jan 2014 - 15:28
Merci du soutien mes chers amis aux dents pointues. Je reprendrai l'écriture sous peu car la suite promet du très lourd, le quatrième cycle est le chapitre de toutes les transitions et révélations, et examens mis à part, il me faudra un certaine temps pour peaufiner mes notes de sorte à avoir un rendu final le plus net et criant possible
EDIT : On se rapproche du premier millier de vue, un bonbon coagulé au millième visiteur !
EDIT : On se rapproche du premier millier de vue, un bonbon coagulé au millième visiteur !
- EssenSeigneur vampire
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Re: [Récit non WHB] Hells Island
Dim 5 Jan 2014 - 20:07
Mille et une vues ! Toutes mes félicitations à l'auteur !!
- ArkenMaîtresse des fouets
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Re: [Récit non WHB] Hells Island
Dim 5 Jan 2014 - 21:12
Bravo cher confrère !
Imagine le potentiel que tu offres si la dizaine d'anciens revenaient et se mettaient à jour dans les récits... Car avec une dizaine de lecteurs quotidiens, 4 pages doivent équivaloir à 2500 vues !
Mais assez d'extrapolation. Les 1000 premières vues font toujours chaud au coeur
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- alexy999Loup funeste
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Re: [Récit non WHB] Hells Island
Mar 30 Sep 2014 - 18:40
Bon, après 9 mois de gestation mentale loin de ces quatre murs (ceux de votre écran), je dois bien m'expliquer sur le pourquoi du comment .. et d'avance mes excuses à ceux qui ont cru que c'était déjà la suite (peut être) tant attendue.
Pour la partie vie privée, on va mettre ça en spoiler, je ne suis pas sûr que ça passionne tout le monde :
Mais il y a un hic, il y en a toujours un ... Je ne suis absolument plus dans le même état d'esprit aujourd'hui que le jour où j'ai commencé Hells Island. J'ai peur que cela se ressente dans mon texte, que la transition soit trop brutale (du "Dernier Samouraï" aux "Bisounours chez Mickey") et que cela gâche le plaisir des lecteurs, voir l'histoire en elle même.
Bref, je veux votre opinion. A l'heure actuelle, j'hésite entre arrêter ce récit la tête haute et me lancer dans d'autres projets, ou bien le continuer au risque de devoir arrêter face contre terre. C'est un peu comme quand une fille annonce sur un réseau social qu'elle se trouve grosse et attend patiemment les messages rassurant de ses "amies" pour la réconforter sur sa beauté. Sauf que je me trouve vraiment gros, et que vous n'êtes pas mes "amis" mais mes amis. Donc un peu de sérieux et votre avis s'il vous plaît !
Vous voulez une suite à vos risques et périls ou je m'essaye à quelque chose de nouveau ?
Pour la partie vie privée, on va mettre ça en spoiler, je ne suis pas sûr que ça passionne tout le monde :
- Spoiler:
- Victime d'une dépression latente depuis ma plus tendre enfance et souffrant de mélancolie (la maladie, pas l'humeur), j'était jusque il y a encore un an dans mon petit nuage noir de souffrances internes. Du genre : "Pardonnez moi de respirer le même air que vous, moi infâme déchet" en y croyant dur comme fer (comme du titane même).
Bref, ça aidait pour écrire des tragédies, de grands sacrifices au nom de l'honneur, blablabla ... Le personnage d'Arthur était d'ailleurs inspiré de ma propre personnalité et de ce que j'aurais pu devenir si j'avais été amené à vivre un traumatisme (je ne pense pas qu'il y ait quelque chose de malsain à s'inspirer d'une personne réelle pour un personnage fictif pour peu que la comparaison n'aille pas plus loin que l'inspiration (je ne m'identifie certainement pas à ce personnage complètement cheaté qu'est Arthur (oui, ceci est une parenthèse dans la parenthèse dans la parenthèse))).
Mais à l'heure actuelle ... je suis guéri ! Un petit ré-ajustage de ma chimie cérébrale, une 180° dans mes études (aux diables les sciences sociales ! Vives les arts !) et un trentaine de séances de psy et me voilà moi. Plus de mélancolie, et une joie de vivre à faire pâlir Bob l'éponge. Ce qui clôture cette brève explication.
Mais il y a un hic, il y en a toujours un ... Je ne suis absolument plus dans le même état d'esprit aujourd'hui que le jour où j'ai commencé Hells Island. J'ai peur que cela se ressente dans mon texte, que la transition soit trop brutale (du "Dernier Samouraï" aux "Bisounours chez Mickey") et que cela gâche le plaisir des lecteurs, voir l'histoire en elle même.
Bref, je veux votre opinion. A l'heure actuelle, j'hésite entre arrêter ce récit la tête haute et me lancer dans d'autres projets, ou bien le continuer au risque de devoir arrêter face contre terre. C'est un peu comme quand une fille annonce sur un réseau social qu'elle se trouve grosse et attend patiemment les messages rassurant de ses "amies" pour la réconforter sur sa beauté. Sauf que je me trouve vraiment gros, et que vous n'êtes pas mes "amis" mais mes amis. Donc un peu de sérieux et votre avis s'il vous plaît !
Vous voulez une suite à vos risques et périls ou je m'essaye à quelque chose de nouveau ?
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Re: [Récit non WHB] Hells Island
Mar 30 Sep 2014 - 20:39
J'espérais que c'était la suite mais ce n'est pas le cas. Toutefois, je vais prendre le temps de répondre à ton message.
Pour la partie vie privée, c'est dans ce spoiler. Je comprends que ma réponse ne passionne pas tout le monde.
Je n'ai pas vraiment d'opinions quant à une éventuelle suite. En effet, je pars du principe que l'auteur est maître de son récit et que les lecteurs ne doivent pas lui dire quelle histoire faire (sauf si c'est voulu bien sûr). De mon point de vue, il vaut mieux que tu prennes la décision qui te semble la bonne concernant le récit. Je m'explique. Tu penses qu'il ne vaut mieux pas que tu continues (si j'ai bien compris ce que tu as dit) car tu ne penses pas pouvoir faire des suites avec la même atmosphère, etc... Je pense que la décision te revient.
Si ma préférence personnelle compte, je pense alors qu'il vaut mieux que tu nous fasses un grand final comme tu le proposes à un moment puis que tu partes éventuellement sur un autre récit.
J'espère avoir pu t'aider un peu.
Pour la partie vie privée, c'est dans ce spoiler. Je comprends que ma réponse ne passionne pas tout le monde.
- Spoiler:
- Tout d'abord je suis content de voir que tu es de nouveau parmi nous (je veux dire sur le forum) et tant mieux si tu va mieux. Et tu as raison de laisser tomber les sciences sociales (je fais sciences-éco, ce qui explique cela).
Je ne pense pas non plus qu'il soit mal de s'inspirer de personnes réelles pour nos personnages. C'est ce que je fait avec Erik qui me ressemble beaucoup au niveau du caractère (bien que pas entièrement).
Je n'ai pas vraiment d'opinions quant à une éventuelle suite. En effet, je pars du principe que l'auteur est maître de son récit et que les lecteurs ne doivent pas lui dire quelle histoire faire (sauf si c'est voulu bien sûr). De mon point de vue, il vaut mieux que tu prennes la décision qui te semble la bonne concernant le récit. Je m'explique. Tu penses qu'il ne vaut mieux pas que tu continues (si j'ai bien compris ce que tu as dit) car tu ne penses pas pouvoir faire des suites avec la même atmosphère, etc... Je pense que la décision te revient.
Si ma préférence personnelle compte, je pense alors qu'il vaut mieux que tu nous fasses un grand final comme tu le proposes à un moment puis que tu partes éventuellement sur un autre récit.
J'espère avoir pu t'aider un peu.
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Re: [Récit non WHB] Hells Island
Mar 30 Sep 2014 - 23:50
Après un peu de temps passé pour relire les dernières progressions dans ton récit, je dis franchement : je m'attends à ce que l'histoire continue, et qu'elle ne soit pas achevée de manière abrupte. Je crois que si toi aussi tu relis ce que tu as déjà écrit, tu te sentiras capable de nous rédiger ce qui se passe ensuite.
Pour répondre au fait que tu ne le ressentes pas de la même manière qu'avant, je trouve que tu peux adapter sans trop bousculer l'ensemble : n'oublie pas qu'Arès est mort, et que Thanatos, l'inconnu, attend de passer à l'action. Tu peux donc revoir son profil selon ton humeur du moment, tout en veillant naturellement à ce que cela s'insère dans la trame et l'ambiance déjà mises en place.
Tout cela me semble amplement faisable pour tes capacités d'auteur qui ne sont plus à prouver. Du reste, mon avis est que laisser cette histoire ainsi inachevée serait aussi dramatique que l'amputation de Louis...
Pour répondre au fait que tu ne le ressentes pas de la même manière qu'avant, je trouve que tu peux adapter sans trop bousculer l'ensemble : n'oublie pas qu'Arès est mort, et que Thanatos, l'inconnu, attend de passer à l'action. Tu peux donc revoir son profil selon ton humeur du moment, tout en veillant naturellement à ce que cela s'insère dans la trame et l'ambiance déjà mises en place.
Tout cela me semble amplement faisable pour tes capacités d'auteur qui ne sont plus à prouver. Du reste, mon avis est que laisser cette histoire ainsi inachevée serait aussi dramatique que l'amputation de Louis...
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Re: [Récit non WHB] Hells Island
Dim 5 Oct 2014 - 10:40
Je commente enfin... Croyant que c'était la suite, je l'ai laissé de côté en attendant de pouvoir la lire
Bref... Déjà bravo pour ce retournement d'existence. J'ai plusieurs amis qui étaient dans le même cas que toi, et c'est pas facile d'en sortir.
Ensuite, ne va jamais croire que c'est mal de s'inspirer de personnes réelles pour un récit. Le fait est que de toute façon tu n'as pas le choix... Nos écrits sont influencés par notre vécu et nos sentiments. Je pense qu'il n'y a pas une histoire au monde qui ne soit pas inspiré de notre monde, que ce soit le personnage, les évènements ou l'ambiance...
Ensuite, pour la suite, je suis comme Gilgalad. Je te laisse l'entière décision de continuer ou pas. Mais je voulais juste rebondir sur ta crainte de ne pas garder la même ambiance. Tu as peut-être changer, mais tu as toujours ce talent d'écrivain et cette envie d'écrire. Rien qu'avec ça, sache que tu peux écrire tout et n'importe quoi. Moi-même qui suis d'une nature très optimiste et joyeuse, je sais quand même faire des passages tragiques et plein de tristesse. Tout simplement parce que du moment que tu as ressenti une émotion à un moment donné dans ta vie, tu es capable de la faire ressortir dans un récit puisque que tu l'as déjà expérimentée. Donc même si tu es de nature joyeuse aujourd'hui, tu es toujours capable d'écrire des tragédies. Après, ça dépend de toi et de ton envie de le faire
Bref... Déjà bravo pour ce retournement d'existence. J'ai plusieurs amis qui étaient dans le même cas que toi, et c'est pas facile d'en sortir.
Ensuite, ne va jamais croire que c'est mal de s'inspirer de personnes réelles pour un récit. Le fait est que de toute façon tu n'as pas le choix... Nos écrits sont influencés par notre vécu et nos sentiments. Je pense qu'il n'y a pas une histoire au monde qui ne soit pas inspiré de notre monde, que ce soit le personnage, les évènements ou l'ambiance...
Ensuite, pour la suite, je suis comme Gilgalad. Je te laisse l'entière décision de continuer ou pas. Mais je voulais juste rebondir sur ta crainte de ne pas garder la même ambiance. Tu as peut-être changer, mais tu as toujours ce talent d'écrivain et cette envie d'écrire. Rien qu'avec ça, sache que tu peux écrire tout et n'importe quoi. Moi-même qui suis d'une nature très optimiste et joyeuse, je sais quand même faire des passages tragiques et plein de tristesse. Tout simplement parce que du moment que tu as ressenti une émotion à un moment donné dans ta vie, tu es capable de la faire ressortir dans un récit puisque que tu l'as déjà expérimentée. Donc même si tu es de nature joyeuse aujourd'hui, tu es toujours capable d'écrire des tragédies. Après, ça dépend de toi et de ton envie de le faire
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Re: [Récit non WHB] Hells Island
Dim 12 Oct 2014 - 11:31
T'ayant suivi depuis un bout de moment (en ayant commencé sur le pphl) je me permet de te répondre ici.
Je plussoie le fait que le choix t'appartiens bien que tous tes lecteurs n'attendent que la suite d'un récit si bon!
Je pense que si tu te sens peu enclin à faire un récit dans la même ambiance 2 choix se posent à toi pour continuer : faire un 180 degrés dans l'histoire en inventant un encensement important qui modifierait totalement le cours de l'histoire! Tu pourrais également finir l'histoire de manière à abréger l'histoire par rapport à ce que tu prévoyais pour la suite.
Cependant je pense que vu le niveau d'écriture que tu as tu es largement capable de décrire la même ambiance qu'avant, et si tu en a besoin tu pourrais relire ton récit, écouter de la musique en accord avec le texte, etc.
Mais au final il faut que tu sache que ce choix et tiens et uniquement tiens. Seul ton envie doit pouvoir déterminer ton choix (car si tu n'en a plus envie et que tu ne le fait que pour les autres le texte sera alors forcément moins bon...)
Voilà en espérant t'aider un peu dans ton choix...
Je plussoie le fait que le choix t'appartiens bien que tous tes lecteurs n'attendent que la suite d'un récit si bon!
Je pense que si tu te sens peu enclin à faire un récit dans la même ambiance 2 choix se posent à toi pour continuer : faire un 180 degrés dans l'histoire en inventant un encensement important qui modifierait totalement le cours de l'histoire! Tu pourrais également finir l'histoire de manière à abréger l'histoire par rapport à ce que tu prévoyais pour la suite.
Cependant je pense que vu le niveau d'écriture que tu as tu es largement capable de décrire la même ambiance qu'avant, et si tu en a besoin tu pourrais relire ton récit, écouter de la musique en accord avec le texte, etc.
Mais au final il faut que tu sache que ce choix et tiens et uniquement tiens. Seul ton envie doit pouvoir déterminer ton choix (car si tu n'en a plus envie et que tu ne le fait que pour les autres le texte sera alors forcément moins bon...)
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Re: [Récit non WHB] Hells Island
Dim 19 Oct 2014 - 1:05
Très bien, je crois que je peux au moins essayer et arrivera ce qui arrivera
(si Dame Arken est toujours prête à renouveler son offre de correctrice orthographique )
Pour ne pas décevoir ceux qui attendaient (encore) la suite, sachez que je me suis remis au travail quant au squelette du tome, même si je compte m'autoriser plus de liberté quant aux événement mineurs qu'auparavant.
Pour vous consoler, un petit dessin réalisé avec Illustrator que j'apprend à utiliser dans le cadre de mes études. Je tiens à préciser que je n'ai fait qu'un mélange de décalquages, je ne suis pas (encore) doué en dessin à ce point
(si Dame Arken est toujours prête à renouveler son offre de correctrice orthographique )
Pour ne pas décevoir ceux qui attendaient (encore) la suite, sachez que je me suis remis au travail quant au squelette du tome, même si je compte m'autoriser plus de liberté quant aux événement mineurs qu'auparavant.
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Re: [Récit non WHB] Hells Island
Lun 20 Oct 2014 - 23:47
Jour 61 : Florence
Il y a une chose, une seule chose pour laquelle je veux vraiment des réponses aujourd'hui : C'est le secret qui se cache derrière le matériel médical qu'ils nous ont fournis. Tout le reste : l'île, les démons, les titans, nos proches, la nuit espagnole, Arthur, François, Lucas, Élisa, Louis, Sarah, ... Je n'en ai rien à cirer des questions qui entourent tous ces sujets de discussions du quotidien. Je veux juste qu'on m'explique ce qu'il y a dans ces médicaments improbables.
Les blessures se cicatrisent en quelques jours, parfois même en quelques heures. Les fractures se ressoudent en quelques nuits, comme si toutes ces côtes cassées n'avaient jamais existé .... C'est quoi le délire derrière cette histoire ? Je ne me souviens même pas avoir eu à traiter une infection conséquente, c'est dire. Je ne suis pas stupide au point de ne pas en comprendre l'intérêt : nous remettre sur pied le plus rapidement possible entre ces épreuves mortelles dont plus personne ne sort indemne. Ça n'explique pas par quel miracle nous régénérons nos plaies aussi vite ?
Le quatrième cycle est sur le point de commencer. Sur les sept qui nous sont réservés, le quatrième est le centre de nos tourments. Nous sommes à mi-chemin après deux mois passés ici. Cette simple perspective devrait nous réjouir, nous avons purgé la moitié de la peine. Mais qu'en sera-t-il pour les survivants ? Au début, nous avons suivit le mouvement car la peur de la mort était omniprésente et nous empêchait de voir en face les réalités qui venaient entraver cet espoir de gagner le jeu pour que tout redevienne à la normale. Mais maintenant, nous ne sommes plus ceux que nous étions il y a deux mois ...
Je n'aurais même pas cru possible une telle évolution, nous ne sommes pas des militaires de profession ! Nous ne savons pas utiliser du matériel complexe, nous fondre dans le paysage en rampant des jours entiers dans la vase, nous avons appris les tactiques de combats sur le tas, via des connaissances éparses et notre carrure n'est pas celle d'un soldat bien entraîné, mais plutôt une parodie de survivant post-apocalyptiques épuisés par le poids de leur équipement. Nous n'étions encore que des ados de dix huit ans, mais ils ont faits de nous des gladiateurs, forcés de combattre avec une infime marge d'erreur ou la mort. Forcés de renier le confort de cette immaturité qui nous allait si bien, un luxe que nous ne pouvons plus nous permettre.
A vrais dire, peut être que je me pose autant de questions sur les médicaments simplement pour éviter d'avoir à envisager un semblant de réponses pour cette interrogation ô combien plus essentielle qu'est le sort qui nous sera réservé si nous survivons au septième cycle ?
Jour 62 : Damien
L'information est tombée comme par deux fois auparavant : Nous voilà de nouveau en tête de classements pour ce troisième cycle. Nos pitoyables scores des deux dernières épreuves n'ont pas altérés la confortable avance que nous avions, ou qu'Arthur nous avait donné pour être plus précis. Mais ce n'est guère ce qui a de l'importance en ce jour, le doute est préoccupé par une bien plus imposant défi : Le quatrième cycle aura lieu dans une base commune aux sept équipes survivantes. Ce cycle durera un mois entier et nous mettra en contact permanent avec nos rivaux européens.
Les hélicos seront là à l'aube. Le groupe Charlie a prit les choses en main avant que les débats houleux appréhendant le lendemain ne prennent le pas sur nos priorités. Je dis bien Charlie, parce que tous les spécialistes coordonnent ouvertement le camps, Sarah y comprit. J'ai été surpris de la voir donner des ordres quant à l'inventaire de nos stock de munitions, de vivres et de médicaments en parfaite coordination avec les autres, mais Lucas et François n'ont pas bronché d'un sourcil alors je suppose que tout cela a été discuté, ce n'est donc pas mes affaires. Qu'ils s'arrangent comme ils le veulent, pourvus que tout cela ne finisse pas aussi mal que ce qu'on a connu par le passé, un passé proche.
Le travail ne manque pas, nous nous préparons à la plus longue expédition hors de nos murs - pour peu que le grillage installé aux premiers jours puisse porter ce titre élogieux - depuis nos débuts ici. Personnellement, je crois que c'était une bonne chose de nous mettre ainsi au travail aussi hâtivement, ça nous a évité de trop réfléchir à ce qui se passerait une fois en contact avec les autres équipes. Même si en soit, j'ai quand trouvé le temps de réfléchir à toutes ces pensées tout en travaillant. Je ne peux donc pas garantir que tous ont préférés laisser leurs méninges au repos, renonçant à cogiter des réflexions qui risquent fort de ne nous apporter que des ennuis. Au final, la journée d'aujourd'hui aura été bien agitée. Mais ce n'était sans doute rien en comparaison de celle qui nous attend demain.
Il y a une chose, une seule chose pour laquelle je veux vraiment des réponses aujourd'hui : C'est le secret qui se cache derrière le matériel médical qu'ils nous ont fournis. Tout le reste : l'île, les démons, les titans, nos proches, la nuit espagnole, Arthur, François, Lucas, Élisa, Louis, Sarah, ... Je n'en ai rien à cirer des questions qui entourent tous ces sujets de discussions du quotidien. Je veux juste qu'on m'explique ce qu'il y a dans ces médicaments improbables.
Les blessures se cicatrisent en quelques jours, parfois même en quelques heures. Les fractures se ressoudent en quelques nuits, comme si toutes ces côtes cassées n'avaient jamais existé .... C'est quoi le délire derrière cette histoire ? Je ne me souviens même pas avoir eu à traiter une infection conséquente, c'est dire. Je ne suis pas stupide au point de ne pas en comprendre l'intérêt : nous remettre sur pied le plus rapidement possible entre ces épreuves mortelles dont plus personne ne sort indemne. Ça n'explique pas par quel miracle nous régénérons nos plaies aussi vite ?
Le quatrième cycle est sur le point de commencer. Sur les sept qui nous sont réservés, le quatrième est le centre de nos tourments. Nous sommes à mi-chemin après deux mois passés ici. Cette simple perspective devrait nous réjouir, nous avons purgé la moitié de la peine. Mais qu'en sera-t-il pour les survivants ? Au début, nous avons suivit le mouvement car la peur de la mort était omniprésente et nous empêchait de voir en face les réalités qui venaient entraver cet espoir de gagner le jeu pour que tout redevienne à la normale. Mais maintenant, nous ne sommes plus ceux que nous étions il y a deux mois ...
Je n'aurais même pas cru possible une telle évolution, nous ne sommes pas des militaires de profession ! Nous ne savons pas utiliser du matériel complexe, nous fondre dans le paysage en rampant des jours entiers dans la vase, nous avons appris les tactiques de combats sur le tas, via des connaissances éparses et notre carrure n'est pas celle d'un soldat bien entraîné, mais plutôt une parodie de survivant post-apocalyptiques épuisés par le poids de leur équipement. Nous n'étions encore que des ados de dix huit ans, mais ils ont faits de nous des gladiateurs, forcés de combattre avec une infime marge d'erreur ou la mort. Forcés de renier le confort de cette immaturité qui nous allait si bien, un luxe que nous ne pouvons plus nous permettre.
A vrais dire, peut être que je me pose autant de questions sur les médicaments simplement pour éviter d'avoir à envisager un semblant de réponses pour cette interrogation ô combien plus essentielle qu'est le sort qui nous sera réservé si nous survivons au septième cycle ?
Jour 62 : Damien
L'information est tombée comme par deux fois auparavant : Nous voilà de nouveau en tête de classements pour ce troisième cycle. Nos pitoyables scores des deux dernières épreuves n'ont pas altérés la confortable avance que nous avions, ou qu'Arthur nous avait donné pour être plus précis. Mais ce n'est guère ce qui a de l'importance en ce jour, le doute est préoccupé par une bien plus imposant défi : Le quatrième cycle aura lieu dans une base commune aux sept équipes survivantes. Ce cycle durera un mois entier et nous mettra en contact permanent avec nos rivaux européens.
Les hélicos seront là à l'aube. Le groupe Charlie a prit les choses en main avant que les débats houleux appréhendant le lendemain ne prennent le pas sur nos priorités. Je dis bien Charlie, parce que tous les spécialistes coordonnent ouvertement le camps, Sarah y comprit. J'ai été surpris de la voir donner des ordres quant à l'inventaire de nos stock de munitions, de vivres et de médicaments en parfaite coordination avec les autres, mais Lucas et François n'ont pas bronché d'un sourcil alors je suppose que tout cela a été discuté, ce n'est donc pas mes affaires. Qu'ils s'arrangent comme ils le veulent, pourvus que tout cela ne finisse pas aussi mal que ce qu'on a connu par le passé, un passé proche.
Le travail ne manque pas, nous nous préparons à la plus longue expédition hors de nos murs - pour peu que le grillage installé aux premiers jours puisse porter ce titre élogieux - depuis nos débuts ici. Personnellement, je crois que c'était une bonne chose de nous mettre ainsi au travail aussi hâtivement, ça nous a évité de trop réfléchir à ce qui se passerait une fois en contact avec les autres équipes. Même si en soit, j'ai quand trouvé le temps de réfléchir à toutes ces pensées tout en travaillant. Je ne peux donc pas garantir que tous ont préférés laisser leurs méninges au repos, renonçant à cogiter des réflexions qui risquent fort de ne nous apporter que des ennuis. Au final, la journée d'aujourd'hui aura été bien agitée. Mais ce n'était sans doute rien en comparaison de celle qui nous attend demain.
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Re: [Récit non WHB] Hells Island
Mar 21 Oct 2014 - 21:05
J’ai tout relus pour le plaisir des yeux, et il y a pas à dire, tu as changé ton style d’écriture depuis le début. Presque imperceptible mais je le sens.
En tout cas je suis heureux que tu reprennes enfin. Depuis le temps que j’attendais ça!
D’ailleurs tant que j’y pense, un message du PPHL:
En tout cas je suis heureux que tu reprennes enfin. Depuis le temps que j’attendais ça!
D’ailleurs tant que j’y pense, un message du PPHL:
tecto'eko a écrit:Est-ce que quelqu'un pourrais prévenir alexys999 sur le forum compte vampire qu'un Irreductible Fan de lui l'encourage ?
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Re: [Récit non WHB] Hells Island
Mar 21 Oct 2014 - 21:11
Ooooh, mon nom se murmure donc encore quelque part dans les limbes du monde matériel ? C'est bon à savoir, c'est d'autant plus de carburant pour faire tourner ma broyeuse d'âme !
Mais personne ne pense rien de mon dessin ?
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Re: [Récit non WHB] Hells Island
Mar 21 Oct 2014 - 21:15
Et oui, ton nom existe toujours en Lustrie (en plus le fofo est pauvre actuellement)
Et ton dessin, tu veux dire Thanatos?
Et bien… :stock: . Vraiment sublime, même si c’est que du calque c’est vraiment superbe. Moi j’en suis encore à Gimp pour le dessin (et je maitrise pas vraiment en plus mais bon.) et j’essaye aussi Blender mais bon… Quoique Thanatos en 3D se serai classe
Et ton dessin, tu veux dire Thanatos?
Et bien… :stock: . Vraiment sublime, même si c’est que du calque c’est vraiment superbe. Moi j’en suis encore à Gimp pour le dessin (et je maitrise pas vraiment en plus mais bon.) et j’essaye aussi Blender mais bon… Quoique Thanatos en 3D se serai classe
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Re: [Récit non WHB] Hells Island
Mar 21 Oct 2014 - 21:22
Pour la 3D on attendra quelques années
En fait, loin de vanter mes talents de décalqueur, je voulais surtout donner un peu plus de vie à ce personnage sans pour autant prendre une image toute faite sur google image. J'essayerai d'en faire de même avec les véhicules et armures à venir, car oui, l'histoire en arrive à un tournant quant auw moyens mis en oeuvre pour assurer le spectacle
En fait, loin de vanter mes talents de décalqueur, je voulais surtout donner un peu plus de vie à ce personnage sans pour autant prendre une image toute faite sur google image. J'essayerai d'en faire de même avec les véhicules et armures à venir, car oui, l'histoire en arrive à un tournant quant auw moyens mis en oeuvre pour assurer le spectacle
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Re: [Récit non WHB] Hells Island
Mar 21 Oct 2014 - 21:24
Je comprend, mais Blender c’est comme sketchup, avec des animations possibles en plus.
C’est bien de donner vie aux personnages, comme les sentiments d’ailleurs…
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Re: [Récit non WHB] Hells Island
Mar 21 Oct 2014 - 21:39
J'ai lu la suite l'autre jour mais j'avais juste la flemme de poster. Elle est tout aussi bien que les précédentes, bien que plus courte (et pas qu'un peu). En toute honnêteté, tu n'as pas perdu du tout le style qui caractérisait ton récit.
Je ne peux pas vraiment commenter le dessin car ce n'est pas trop mon rayon.
Ah, et j'oubliais, vivement la suite !
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Re: [Récit non WHB] Hells Island
Mar 21 Oct 2014 - 23:45
Personnellement, j'ai trouvé que le seul truc qui a changé, c'est la longueur de la suite : tu as réduit la taille en ayant, volontairement ou non, évité d'y mettre une scène d'action
Je prends ça comme une manière sympa de nous remettre dans l'histoire
Ma curiosité étant de nouveau éveillée, la suite !
P.S. j'ai bien aimé le concept de l'arme de Thanatos, toutefois, lui-même, je le voyais... différemment
Je prends ça comme une manière sympa de nous remettre dans l'histoire
Ma curiosité étant de nouveau éveillée, la suite !
P.S. j'ai bien aimé le concept de l'arme de Thanatos, toutefois, lui-même, je le voyais... différemment
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Re: [Récit non WHB] Hells Island
Mer 22 Oct 2014 - 18:59
J'ai enfin lu cette petite suite, et je la trouve tout à fait appropriée
Cela permet aux lecteurs de retrouver leurs marques... Et certainement à l'auteur aussi
Très beau dessin, mais on en sait toujours pas plus sur ce luron là !
La suite !
Cela permet aux lecteurs de retrouver leurs marques... Et certainement à l'auteur aussi
Très beau dessin, mais on en sait toujours pas plus sur ce luron là !
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- alexy999Loup funeste
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Re: [Récit non WHB] Hells Island
Mer 22 Oct 2014 - 22:34
Jour 63 : Contact
lancez cette musique d'ambiance.
C'est une vision étrange ...
Ils ont beau l'avoir tous déjà vue au moins à une occasion de leurs propres yeux, l'avoir deviné maintes fois sur des images retransmises et l'avoir dessiné dans leurs imaginations. Cette vision de l'océan au loin les stupéfait. Ils le savaient depuis les premières heures, et pourtant ils le voient à présent pour la première fois depuis leur arrivée. Une île infernale, c'est bel et bien l'endroit où les titans ont affirmés les avoir séquestrés. Une côté tout du moins, car si les hélicoptères opèrent à une altitude bien plus élevée que les rase-mottes habituels au dessus de la cime des arbres, ils ne volent pas encore suffisamment haut que pour juger de ce qu'il y a derrière les montagnes.
Les vallées de jungles leurs masquaient jusqu'à présent cet horizon qui les laissent songeur, et lorsqu'ils atteignent les montes de moins en moins élevées de la chaîne montagneuse, ils ne découvrent derrière les derniers pics qu'un océan étrangement similaire au premier de l'autre versant, cela ne les affectent guère. L'espoir de se trouver sur un continent qui aurait rendu une fuite possible n'a même pas eut à naître. Ils se savent prisonniers depuis longtemps. Les hélicoptères pilotés à distance sont au nombre de six. Deux assurent le rôle de cargos pour les vivres et les munitions, les autres transportent les olympiens équitablement répartit dans leur configuration souhaitée : Alpha, Bravo, Delta, Écho ... Le voyage se fait en silence, c'est le mot d'ordre qui est passé : pas de prédictions, de discussions inutiles avant d'être fixés sur la situation. Pourtant, le silence a bien du mal à se faire quand des tâches noires se dessinent au loin, convergeant dans la même direction. Le souvenir effroyable de la dernière épreuve est encore frais dans leur tête.
Mais le silence se maintient. Les regards se toisent, puis se dévisagent. Le paysages change, les deux océans convergent eux aussi, vers ce qui semble être la pointe est de l'île. Loin sous leurs pieds, les jungles tropicales ont cédés leur place à des plaines marécageuses tantôt parsemées d'un arbre ci et là et coincées entre des petits bois biens moins denses que la forêts qu'ils ont connus jusqu'à présent. Au loin, ils ont aperçus la ville en ruine, l'observer dans sa globalité est également une première. Ils commencent seulement à estimer le nombre d'habitants qui ont du mener leur vie ici, sans doute plusieurs dizaines de milliers. Mais c'est une autre masse grisâtre qui attire leur attention, une autre souillure humaine à base de béton, une autre tâche sur l'horizon, là où convergent les rives : un port.
Trente - peut être trente-cinq – appareils sans âmes s'y rendent d'un même entrain. Pas un seul mouvement qui sorte du lot, pas un seul kilomètre heure de plus ou de moins, pas une vitre de cockpit qui ne soit pas teintée de noir. La nuée d'hélicoptère progresse à la même allure, comme tractée par une quelconque force sereine et invisible. Les armes restent dans leurs fourreaux, sanglées, en sécurité, et ce tant que le silence perdure. Il est inutile de nier que quelques voix essayent sans doute de se faire entendre, mais de ce capharnaüm de bruits de pales et de moteurs, le silence n'est que symbolique. Un silence forcé qui étouffe le moindre gémissement et qui dissuade toute conversation.
Le port se dessine mieux maintenant, ses alentours sont très boisés et contrastent avec les plaines, ils rappellent les profondeurs de la jungles, un environnement craint et pourtant rassurant car familier. De hautes fortifications en bétons enserrent une zone large de trois cent mètres, telles une enceinte moyenâgeuse. Ces murs se terminent dans la mer qui se fait plus proche que jamais, teintée d'un beau bleu cyan, et parée de ce qui ressemble à un navire de guerre de moyen tonnage, amarré à une digue bien trop large pour lui seul. Dans l'espace terrestre, contrastant avec la vétusté du béton et de quelques ruines de bâtiments éparses, une citadelle est posée en plein cœur du dispositif comme une cerise sur un gâteau, mais une cerise de la taille d'une orange.
De forme heptagonale et du diamètre d'un grand terrain de football, cette fortification haute de cinq étage n'avait nul autre pareil. Sur son toit, on devinaient - vides – des emplacement d'artillerie ainsi que ce qui ressemblait à une porte de hangar horizontale et donnant sur les entrailles du fort. Alors que la descente s'amorçait, quelque chose planait dans l'air, comme un sentiment de défaite, de regret, et pourtant quelque chose de paisible. Ils sentaient tous le tournant arriver, sans savoir de quoi il en retournerai, sans même percevoir la source de cette émotion pour certain. A l'ombre de la citadelle, à l'ombre des meurtrières, des plates-formes, des baies vitrées et des grandes portes d'acier, ils sentaient comme le souffle du destin et sa douce brise dans leurs cœurs. Les sites d’atterrissages étaient dispersés au grès de ces sept faces, le matériel fut débarqué et sans plus de nécessités, tous se réunir sur la digue, sans qu'aucun mot n'ait été échangé. En estimant, ils étaient encore à peu près quatre vingt en vie, et ils fixait l'horizon désespérément vide de la mer en l'attendant.
« Bienvenue à vous olympiens ! » put on entendre dans les instant qui suivirent dans toute la zone.
« Bienvenue à Atlantis ! Sur ce site, vous réaliserez vos épreuves en commun lors de ce quatrième cycle, et qui sait ... peut être serez vous amené à revenir ici bien après encore. Une semaine complète vous sera donnée pour faire connaissances avec vos adversaires avant le début de la première épreuve. Toutes les épreuves de ce cycle seront sans dangers, vous vous affronterez mutuellement dans des simples jeux ou des combats à munitions factices. ... »
Cette information n'échappa pas à la foule, quelques sourires à dents découvertes apparurent même en nombre réduit.
« Cependant, avant de vous quitter et de vous laisser découvrir votre nouveau cadre de jeu, laissez moi vous rappeler que l'interdiction de tuer un membre d'une autre équipe ou chercher à fuir sont les seules règles qui vous sont imposées. Seulement deux règles, que pourtant, beaucoup d'entre vous ont déjà essayé de transgresser ... »
Des regards se croisèrent, d'équipes en équipes, ceux qui avaient encore de la curiosité en eux, cherchaient des réponses ou des cas similaires au leur dans les rangs de leur concurrents.
« A cette fin, Thanatos a été désigné pour vous diriger, nous l’espérons, vers le droit chemin. Et est par conséquent, la seule personne ici à avoir droit de vie et de mort sur vous tous. Donc ... restez sur le droit chemin et que les meilleurs terrassent les titans ! »
Le silence, en totale opposition avec les dernières heures, ne dura pas plus de quelques instants une fois les hauts-parleurs calmés. D'abord les messes basses, puis ensuite les chuchotement, et enfin les hurlements injurieux. Les disputes éclatèrent, aussi bien internes qu'entre les équipes. On se reprochait tout et n'importe quoi, les traducteurs des casques ne parvinrent pas à suivre et plus personne ne se comprenaient. Certains les retirèrent, les francophones et les anglophones mirent à profit une langue commune pour reprendre leurs houleux débats de manière plus conventionnelle. Les Allemands eux, jouaient dans les deux camps du mieux que leurs permettaient leurs différents niveaux linguistiques dans une langue ou l'autre. A de nombreuses reprises, la situation failli dégénérer, mais à chaque fois que le niveau devenait critique, un leader ordonnait à son équipe de le suivre, et ils partaient en direction de la citadelle.
Ainsi de suite, le macadam se vida de toute vie, et le silence se fit de nouveau maître des lieux. Partis au fur et à mesure, n'ayant aucun véritable meneur à suivre. L'équipe Belge visita Atlantis de manière désordonnée, par petits groupes, chacun dans son coin. Le besoin de faire le point sur la situation était dans tous les esprits. Plus que jamais, le manque d'unité de leur groupe se faisait ressentir, et plus que jamais, les anciennes tensions revenaient se mêler aux affaires courantes. Mais cette sensation était toujours présente, l'espoir ... Celui de partager ses peines, de rencontrer, de coopérer, de vivre ... Loin du concept - pour les plus pessimistes - d'une prison encore plus oppressante, ils voyaient presque tous en la citadelle un bastion presque égal à une seconde armure sur leur peau. Et cette armure leur tenait chaud, chaud au cœur.
On sent que c'est l'expérience qui parle dame Arken car vous avez tout ce qu'il y a de plus vrais.
Je me suis permit de poster ces premiers textes sans passer par vous, j'ai accordé un effort plus constant à la relecture, l'espère donc que vous n'y trouverez presque pas (si pas, pour me rendre heureux) de traces de délits orthographiques.
lancez cette musique d'ambiance.
C'est une vision étrange ...
Ils ont beau l'avoir tous déjà vue au moins à une occasion de leurs propres yeux, l'avoir deviné maintes fois sur des images retransmises et l'avoir dessiné dans leurs imaginations. Cette vision de l'océan au loin les stupéfait. Ils le savaient depuis les premières heures, et pourtant ils le voient à présent pour la première fois depuis leur arrivée. Une île infernale, c'est bel et bien l'endroit où les titans ont affirmés les avoir séquestrés. Une côté tout du moins, car si les hélicoptères opèrent à une altitude bien plus élevée que les rase-mottes habituels au dessus de la cime des arbres, ils ne volent pas encore suffisamment haut que pour juger de ce qu'il y a derrière les montagnes.
Les vallées de jungles leurs masquaient jusqu'à présent cet horizon qui les laissent songeur, et lorsqu'ils atteignent les montes de moins en moins élevées de la chaîne montagneuse, ils ne découvrent derrière les derniers pics qu'un océan étrangement similaire au premier de l'autre versant, cela ne les affectent guère. L'espoir de se trouver sur un continent qui aurait rendu une fuite possible n'a même pas eut à naître. Ils se savent prisonniers depuis longtemps. Les hélicoptères pilotés à distance sont au nombre de six. Deux assurent le rôle de cargos pour les vivres et les munitions, les autres transportent les olympiens équitablement répartit dans leur configuration souhaitée : Alpha, Bravo, Delta, Écho ... Le voyage se fait en silence, c'est le mot d'ordre qui est passé : pas de prédictions, de discussions inutiles avant d'être fixés sur la situation. Pourtant, le silence a bien du mal à se faire quand des tâches noires se dessinent au loin, convergeant dans la même direction. Le souvenir effroyable de la dernière épreuve est encore frais dans leur tête.
Mais le silence se maintient. Les regards se toisent, puis se dévisagent. Le paysages change, les deux océans convergent eux aussi, vers ce qui semble être la pointe est de l'île. Loin sous leurs pieds, les jungles tropicales ont cédés leur place à des plaines marécageuses tantôt parsemées d'un arbre ci et là et coincées entre des petits bois biens moins denses que la forêts qu'ils ont connus jusqu'à présent. Au loin, ils ont aperçus la ville en ruine, l'observer dans sa globalité est également une première. Ils commencent seulement à estimer le nombre d'habitants qui ont du mener leur vie ici, sans doute plusieurs dizaines de milliers. Mais c'est une autre masse grisâtre qui attire leur attention, une autre souillure humaine à base de béton, une autre tâche sur l'horizon, là où convergent les rives : un port.
Trente - peut être trente-cinq – appareils sans âmes s'y rendent d'un même entrain. Pas un seul mouvement qui sorte du lot, pas un seul kilomètre heure de plus ou de moins, pas une vitre de cockpit qui ne soit pas teintée de noir. La nuée d'hélicoptère progresse à la même allure, comme tractée par une quelconque force sereine et invisible. Les armes restent dans leurs fourreaux, sanglées, en sécurité, et ce tant que le silence perdure. Il est inutile de nier que quelques voix essayent sans doute de se faire entendre, mais de ce capharnaüm de bruits de pales et de moteurs, le silence n'est que symbolique. Un silence forcé qui étouffe le moindre gémissement et qui dissuade toute conversation.
Le port se dessine mieux maintenant, ses alentours sont très boisés et contrastent avec les plaines, ils rappellent les profondeurs de la jungles, un environnement craint et pourtant rassurant car familier. De hautes fortifications en bétons enserrent une zone large de trois cent mètres, telles une enceinte moyenâgeuse. Ces murs se terminent dans la mer qui se fait plus proche que jamais, teintée d'un beau bleu cyan, et parée de ce qui ressemble à un navire de guerre de moyen tonnage, amarré à une digue bien trop large pour lui seul. Dans l'espace terrestre, contrastant avec la vétusté du béton et de quelques ruines de bâtiments éparses, une citadelle est posée en plein cœur du dispositif comme une cerise sur un gâteau, mais une cerise de la taille d'une orange.
De forme heptagonale et du diamètre d'un grand terrain de football, cette fortification haute de cinq étage n'avait nul autre pareil. Sur son toit, on devinaient - vides – des emplacement d'artillerie ainsi que ce qui ressemblait à une porte de hangar horizontale et donnant sur les entrailles du fort. Alors que la descente s'amorçait, quelque chose planait dans l'air, comme un sentiment de défaite, de regret, et pourtant quelque chose de paisible. Ils sentaient tous le tournant arriver, sans savoir de quoi il en retournerai, sans même percevoir la source de cette émotion pour certain. A l'ombre de la citadelle, à l'ombre des meurtrières, des plates-formes, des baies vitrées et des grandes portes d'acier, ils sentaient comme le souffle du destin et sa douce brise dans leurs cœurs. Les sites d’atterrissages étaient dispersés au grès de ces sept faces, le matériel fut débarqué et sans plus de nécessités, tous se réunir sur la digue, sans qu'aucun mot n'ait été échangé. En estimant, ils étaient encore à peu près quatre vingt en vie, et ils fixait l'horizon désespérément vide de la mer en l'attendant.
« Bienvenue à vous olympiens ! » put on entendre dans les instant qui suivirent dans toute la zone.
« Bienvenue à Atlantis ! Sur ce site, vous réaliserez vos épreuves en commun lors de ce quatrième cycle, et qui sait ... peut être serez vous amené à revenir ici bien après encore. Une semaine complète vous sera donnée pour faire connaissances avec vos adversaires avant le début de la première épreuve. Toutes les épreuves de ce cycle seront sans dangers, vous vous affronterez mutuellement dans des simples jeux ou des combats à munitions factices. ... »
Cette information n'échappa pas à la foule, quelques sourires à dents découvertes apparurent même en nombre réduit.
« Cependant, avant de vous quitter et de vous laisser découvrir votre nouveau cadre de jeu, laissez moi vous rappeler que l'interdiction de tuer un membre d'une autre équipe ou chercher à fuir sont les seules règles qui vous sont imposées. Seulement deux règles, que pourtant, beaucoup d'entre vous ont déjà essayé de transgresser ... »
Des regards se croisèrent, d'équipes en équipes, ceux qui avaient encore de la curiosité en eux, cherchaient des réponses ou des cas similaires au leur dans les rangs de leur concurrents.
« A cette fin, Thanatos a été désigné pour vous diriger, nous l’espérons, vers le droit chemin. Et est par conséquent, la seule personne ici à avoir droit de vie et de mort sur vous tous. Donc ... restez sur le droit chemin et que les meilleurs terrassent les titans ! »
Le silence, en totale opposition avec les dernières heures, ne dura pas plus de quelques instants une fois les hauts-parleurs calmés. D'abord les messes basses, puis ensuite les chuchotement, et enfin les hurlements injurieux. Les disputes éclatèrent, aussi bien internes qu'entre les équipes. On se reprochait tout et n'importe quoi, les traducteurs des casques ne parvinrent pas à suivre et plus personne ne se comprenaient. Certains les retirèrent, les francophones et les anglophones mirent à profit une langue commune pour reprendre leurs houleux débats de manière plus conventionnelle. Les Allemands eux, jouaient dans les deux camps du mieux que leurs permettaient leurs différents niveaux linguistiques dans une langue ou l'autre. A de nombreuses reprises, la situation failli dégénérer, mais à chaque fois que le niveau devenait critique, un leader ordonnait à son équipe de le suivre, et ils partaient en direction de la citadelle.
Ainsi de suite, le macadam se vida de toute vie, et le silence se fit de nouveau maître des lieux. Partis au fur et à mesure, n'ayant aucun véritable meneur à suivre. L'équipe Belge visita Atlantis de manière désordonnée, par petits groupes, chacun dans son coin. Le besoin de faire le point sur la situation était dans tous les esprits. Plus que jamais, le manque d'unité de leur groupe se faisait ressentir, et plus que jamais, les anciennes tensions revenaient se mêler aux affaires courantes. Mais cette sensation était toujours présente, l'espoir ... Celui de partager ses peines, de rencontrer, de coopérer, de vivre ... Loin du concept - pour les plus pessimistes - d'une prison encore plus oppressante, ils voyaient presque tous en la citadelle un bastion presque égal à une seconde armure sur leur peau. Et cette armure leur tenait chaud, chaud au cœur.
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Arken a écrit:Cela permet aux lecteurs de retrouver leurs marques... Et certainement à l'auteur aussi
On sent que c'est l'expérience qui parle dame Arken car vous avez tout ce qu'il y a de plus vrais.
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Re: [Récit non WHB] Hells Island
Mer 22 Oct 2014 - 22:40
Mouahaha ! Ca faisait longtemps que je n'étais plus la première à poster
La musique est vraiment géniale avec le texte... Très belle immersion
Le suite
La musique est vraiment géniale avec le texte... Très belle immersion
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Re: [Récit non WHB] Hells Island
Mer 22 Oct 2014 - 23:03
Hm... J'aurais aimé avoir deux-trois répliques comme exemples des sujets des disputes qui éclatent, mais du reste, je n'ai rien à redire sur cette... euh... suite d'introduction
La suite !
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- alexy999Loup funeste
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Re: [Récit non WHB] Hells Island
Mer 22 Oct 2014 - 23:18
Ce récit pourrait s'appeler : "Énumérations des sujets de disputes possibles en situation de rapt, d'isolement, de stress et de confrontation." donc je ne voyais pas l’intérêt de briser le rythme avec des dialogues inutiles
Une suite d'introduction ? C'est à dire ? Si tu veux des textes plus longs il va falloir t'y faire mon pauvre ami. Si je suis amené à travailler plus au feeling qu'avant où j'avais déjà les grandes lignes directrices du jour 1 à 50 sur papier, je vais travailler davantage au jour le jour et donc pondre mes texte un par un
Une suite d'introduction ? C'est à dire ? Si tu veux des textes plus longs il va falloir t'y faire mon pauvre ami. Si je suis amené à travailler plus au feeling qu'avant où j'avais déjà les grandes lignes directrices du jour 1 à 50 sur papier, je vais travailler davantage au jour le jour et donc pondre mes texte un par un
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Re: [Récit non WHB] Hells Island
Lun 24 Nov 2014 - 0:12
Bon, entre grippe, pneumonie et travail scolaire à rattraper à cause des deux précédentes raisons, j'ai pris du retard sur ma promesse de m'y remettre régulièrement, alors j'envois la suite ! S'il y a trop de fautes de frappes qui vous tuent les yeux, je repasserais par les services de lady Arken avant de poster les textes suivant
Jour 64 : Élisa
Je suis forcée de l'admettre, les pièces du puzzle commencent à ressembler à quelque chose. J'ai moi même eue des doutes à l'ouverture du fichier. Mais je suis forcée d'admettre que le plan se déroule comme prévu, pour une stratégie posthume, elle est sacrement bien ficelée. Si j'en crois le planning établi, à compter du jour où nous avons mis les pieds ici, un sablier de deux semaine s'est lancé. Où tout cela nous mènera-t-il ? Que l'opération soit un échec, une réussite ou un succès mitigé, je ne peux voir au delà. J'entrevois tous les chemins qui s'offrent à moi, et pourtant je conçois pas ce qui se cache derrière, ce que j'entrevois, ce ne sont que des portes closes. Laquelle s'ouvrira ?
Thanatos est cependant une énigme, il fait partie du plan pourtant, mais c'est bien là le problème. Je n'arrive pas à le cerner, son flegme me rappelle un peu trop bien quelqu'un. Ils terrorise tous ceux qui le croisent au détour d'un couloir, se baladant sans but apparent si ce n'est pour nous observer avec curiosité plus que par devoir. Qu'il soit un géant de deux mètres, ou que ce soit simplement son armure, plus imposante que n'importe quelle autre, qui le grandisse, sa taille participe au sentiment de malaise qu'il crée. Et ce n'est qu'un détail parmi d'autres, l'armure noire, le masque morbide, la cape en lambeaux, l'immense fusil-antichar-faux qu'il porte en permanence dans son dos, ses deux énormes pistolets à la ceinture et surtout, surtout, son rire moqueur quand il croise des gens pétrifiés de terreur. Je ne peux pas croire qu'il soit qui je pense, mais il est de la même trempe c'est certain. Plus que n'importe qui d'autre, il me perturbe ...
Quoiqu'il en soit « le sablier est lancé », je n'ai plus un seul instant à perdre. Ainsi, dés que j'ai repéré l'étage réservé aux salles d'entraînements et aux simulateurs, quelques messes-basses ont suffit à lancer la rumeur. Tous ceux qui n'étaient pas convaincus, nous les envoyions faire un tour dans le gigantesque hangar sous la forteresse. Les tanks, c'était une chose, les hélicoptères d'attaque et les canonnières en étaient une autre. Si nous n'avions pas agis, les olympiens auraient sûrement attendus des conseils avisés des titans pour se lancer dans l'apprentissage du maniement de ces engins. C'est donc une bataille de l'ombre qui se joue aujourd'hui, et une bataille dans laquelle nous avons prit l'initiative.
Dés les premières heures, tous ceux qui enchaînaient crash sur crash dans les simulateurs, abandonnaient en désespoir de cause, pour aller s'essayer à quelque chose de bien différents dans les autres salles. Ils trouvèrent des simulateurs d'un tout autre genre que ceux de vol, j'y consacrerai du temps une fois que je serai sûre et certaine d'être capable de piloter Phoenyx et Viper si la situation l'exige, et elle l'exigera ...
Jour 65 : Thomas
Cette citadelle est une architecture bien étrange. Un heptagone à sept étages, comme quoi c'est un chiffre qui semble réellement avoir de l'importance. Sept équipes restantes, sept cycles, et je parie qu'il y a quelque chose que nous ignorons au sein des cycles eux même, six épreuves par cycle, c'est louche quand on voit à quel point le sept se répète ... Afin de me changer les idées, à force de vagabonder de simulateurs en simulateurs à fuir le regards des membres des équipes étrangères, j'avais besoin d'une pause. Je suis donc parti en solitaire pour un énième tour de la forteresse.
Le premier étage, c'est le sous-sol. Un vaste hangar d'un diamètre largement supérieur au bâtiment qui le surplombe. On y a trouvé des Lynx, des Scarab et des Scorpions en très grand quantités. Au moins deux tanks et cinq à six autres véhicules de chaque par équipes. Mais surtout, il y a les appareils aériens. Les Vipers, sortes d'hélicoptères à deux rotors de taille relativement restreinte. Lorsque les rotors sont verticaux, l'engin vole comme un hélicoptère normal, mais en inclinant les rotors à l'horizontal, l'engin gagne considérablement en vitesse en perdant ses capacités de vol stationnaires. Il a une faible capacité de transport à l'arrière, quatre hommes sur des sièges quasis suspendus au dessus du vide, ou un Scorpion sans équipage. Il est armé d'un mitrailleuse de gros calibre sous le cockpit et de quelques roquettes non-guidées sur ses flancs.
Le Phoenyx, là c'est une autre histoire. Même système de vol, mais trente mètres d'envergure, des rotors de taille conséquente et une capacité de transport de vingt hommes et de matériel ou d'un Scarab et de son équipage. Il y a un sas à l'arrière pour débarquer rapidement les hommes ou le véhicule et une trappe d'assaut à l'avant, juste sous le cockpit, qui ne peut laisser passer qu'une personne à la fois. Mais cette porte est couverte par une mitrailleuse du même calibre équivalente que celle des Viper. En plus des roquette, le vrais armement des Phoenyx, ce sont les doubles auto-canons de 37mm qui garnissent les flanc du monstres. Le pilote peut les faire tirer droit devant, mais tout comme la mitrailleuse frontale, l'équipage peut les téléguider pour plus de précision. Le titre de canonnière n'est pas un hasard, ni leur nombre, une seule par équipe, sept Phoenyx. En cherchant un peu sur les terminaux, il s'avère que les véhicules terrestres sont des restes de matériels militaires destinés aux rebuts, les véhicules aériens eux, sont des séries d'appareils d'essais n'ayant jamais dépassés les stades de prototype pour des projets gouvernementaux américains ou européens d'ADAV. Il n'y a pour l'instant aucune information sur le navire amarré dans le port si ce n'est son nom : Léviathan. Six types véhicules, ais je raison de croire en l'existence d'une septième catégorie ?
Tous ces véhicules remontent à la surface par de grands monte-charges débouchant sur le macadam. Un par face de la citadelle. Il y en a également un huitième au centre de celle-ci, il donne sur le toit pour des véhicules aériens mais sert aussi à déplacer un grand nombre de personnes entre les étages visiblement. Le second étage est le rez de chaussé, un hangar plus petit où seront stockés de toute évidence, des véhicules en réparation ou prêt à être déployés. Le troisième étage est une armurerie et des ateliers, une parties des locaux nous sont encore inaccessibles, je suis sûr et certain que ça a un lien avec ceux qui s'entraînent au port de l'armure dans les simulateurs et les parcours de tir du quatrième étage. Au cinquième étage, divisés en sept cellules indépendantes, il y a les des sanitaires, des buanderies et surtout des dortoirs. Pour la première fois depuis notre arrivée sur cette île, nous allons avoir un peu d'intimité car chaque lit est un chambre individuelle.
Le sixième étage est un lieux de vie : salle de sport, salle de jeux, grand réfectoire et toute aussi grande cuisine pour l'alimenter. Quarante personnes peuvent y manger à l'aise et les quatre vingt que nous sommes y tiennent également, pour peu qu'on se serre. Mais le plus important, c'est le septième étage, le dernier avant le toit. Je suis bien seul à y errer pour l'instant, mais je crois qu'il y aura prochainement de l'animation en permanence ici. Il y a une grande salle de contrôle similaire à ce que nous avons connu à bord des simulateurs de combats spatiaux mais en bien plus vaste. Trois salles de réunions pouvant accueillir une dizaine de personnes, et une dernière pouvant tous nous accueillir. De grandes choses vont se passer ici ...
Jour 66 : Florence
J'ai lamentablement échoué aux simulations de vols, autant voler dans un ciel dégagé était facile à apprendre, autant les épreuves plus complexes de combats dans des villes pleines d'obstacles et sous un feu ennemis se terminaient systématiquement par un câlin avec un bâtiment. Les commandes sont vraiment simplifiées par rapport à ce à quoi je m'attendais : deux pédales pour tourner à plat à gauche et à droite, un manche pour le pilotage avec des commandes pour le tir, un levier pour l'inclinaison des rotors, un autre pour la vitesse et une douzaine de boutons avec une légende mise bien en évidence. Avec des commandes aussi simples, sur les quatre-vingt survivants, nous aurons sans peines nos pilotes.
Je me demande ce qui est différents par rapport à la réalité ? Les technologies militaires sont censées être les plus high tech, alors comment pourrions nous bénéficier de programmes suffisamment puissant que pour nous simplifier la vie alors que les armées des grandes nations n'en ont pas ? Ceux qui nous amenés ici pour organiser cette infamie sont ils si puissants que pour restreindre le marché de la technologie ? Pour avoir récupéré une île, tout ce matériel et ses milliers d'enfants soldats, ils sont à coup sûr des hommes figurant dans le haut de la liste des plus puissants du monde. Ou bien sont ils simplement convaincu que notre vie a si peu de valeur que quelques crash pour cause d'une formation trop rapide les divertiraient ... avec du recul ... je crois que c'est ça ... puuuuutain ...
Quoiqu'il en soit, ayant échoué au pilotage, j'ai été jeter un coup d’œil aux formations des armures. Nous avons le choix entre deux modèles, une armure à peine plus résistante que les tenues saturées de gilets pare-balles que nous portions déjà, mais équipées de jetpack ayant une autonomie de quinze seconde. Ou bien d'énormes armures, assistées de petits moteurs aidant à se déplacer malgré leur poids monstrueux. Entre un blindage médiocre et une fusée à réaction sur le dos ou une massive armure de chevalier à la protection infaillible, je crois bien que tout le monde s'est précipité sur les simulateurs d'armures assistées, et nous avons déchanté.
Elles nécessitent une machine pour être revêtue et rien que l'idée de la manière recommandée pour faire ses besoins va me donner des cauchemars pour toute une semaine. Et puis, malgré l'aide des moteurs pour supporter le poids de cette chose, sa mobilité est médiocre. Les simulateurs consistent en des parcours de tirs , pour ceux ayant réussis les épreuves préliminaires, où l'armure d'essais est maintenue par des bras mécaniques reliés à des rails au plafond. J'ai donc pu observer ceux qui l'essayaient, et encore, il s'agissait des cas les plus prometteurs. Avec la grâce d'un éléphant, ils se déplaçait comme l'un de ces monstres imposant et patauds des films fantastiques. Alors même si le blindage pouvait encaisser multitudes de tirs de fusils des démons avant de se fragiliser, si c'étaient juste pour se faire facilement encercler et ne pas pouvoir fuir avec une grenade aux pieds ... j'ai abandonné l'idée et je suis retournée dans le simulateurs des armures à réacteurs, mal m'en a prit ...
Sans les bras mécaniques, j'aurais redécoré les murs un nombre incalculable de fois. Quand je me disais que nos ravisseurs avaient la main mise sur les nouvelles technologies, je ne pouvais être plus proche de la vérité. Les casques de ces armures sont pourvus de récepteurs de l'activité neuronale, j'avais entendu parler de ça dans des rubriques de vulgarisation scientifique mais de là à l'essayer en vrais sur un équipement qui serait notre seule défense contre les balles, j'en avais la chair de poule. Avant d'enfiler l'armure d'essais, j'ai passée six heures avec seulement ce fameux casque sur la tête, à essayer d'allumer plus ou moins fort une ampoule rien qu'en imaginant le mouvement d'un de mes membres, puis d'un membre imaginaire auquel associer la mise à feu du jet pack et la régulation de sa puissance. Quand enfin, le simulateur m'a donné accès aux essais en armure réelle, j'étais tellement euphorique après autant de tentatives infructueuses, qu'au lieux d'aller dormir, j'ai passé six heures de plus sur ce parcours de tir infernal, à virevolter dans tous les sens comme un avion avec une aile cassée.
Tous les chefs d'équipes se sont mis d'accord pour nous obliger à maîtriser au plus vite le pilotage des appareils aériens ou le port de l'une des deux armures, finir massacrée par les démons me paraît soudainement être un sort plus enviable ...
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Jour 64 : Élisa
Je suis forcée de l'admettre, les pièces du puzzle commencent à ressembler à quelque chose. J'ai moi même eue des doutes à l'ouverture du fichier. Mais je suis forcée d'admettre que le plan se déroule comme prévu, pour une stratégie posthume, elle est sacrement bien ficelée. Si j'en crois le planning établi, à compter du jour où nous avons mis les pieds ici, un sablier de deux semaine s'est lancé. Où tout cela nous mènera-t-il ? Que l'opération soit un échec, une réussite ou un succès mitigé, je ne peux voir au delà. J'entrevois tous les chemins qui s'offrent à moi, et pourtant je conçois pas ce qui se cache derrière, ce que j'entrevois, ce ne sont que des portes closes. Laquelle s'ouvrira ?
Thanatos est cependant une énigme, il fait partie du plan pourtant, mais c'est bien là le problème. Je n'arrive pas à le cerner, son flegme me rappelle un peu trop bien quelqu'un. Ils terrorise tous ceux qui le croisent au détour d'un couloir, se baladant sans but apparent si ce n'est pour nous observer avec curiosité plus que par devoir. Qu'il soit un géant de deux mètres, ou que ce soit simplement son armure, plus imposante que n'importe quelle autre, qui le grandisse, sa taille participe au sentiment de malaise qu'il crée. Et ce n'est qu'un détail parmi d'autres, l'armure noire, le masque morbide, la cape en lambeaux, l'immense fusil-antichar-faux qu'il porte en permanence dans son dos, ses deux énormes pistolets à la ceinture et surtout, surtout, son rire moqueur quand il croise des gens pétrifiés de terreur. Je ne peux pas croire qu'il soit qui je pense, mais il est de la même trempe c'est certain. Plus que n'importe qui d'autre, il me perturbe ...
Quoiqu'il en soit « le sablier est lancé », je n'ai plus un seul instant à perdre. Ainsi, dés que j'ai repéré l'étage réservé aux salles d'entraînements et aux simulateurs, quelques messes-basses ont suffit à lancer la rumeur. Tous ceux qui n'étaient pas convaincus, nous les envoyions faire un tour dans le gigantesque hangar sous la forteresse. Les tanks, c'était une chose, les hélicoptères d'attaque et les canonnières en étaient une autre. Si nous n'avions pas agis, les olympiens auraient sûrement attendus des conseils avisés des titans pour se lancer dans l'apprentissage du maniement de ces engins. C'est donc une bataille de l'ombre qui se joue aujourd'hui, et une bataille dans laquelle nous avons prit l'initiative.
Dés les premières heures, tous ceux qui enchaînaient crash sur crash dans les simulateurs, abandonnaient en désespoir de cause, pour aller s'essayer à quelque chose de bien différents dans les autres salles. Ils trouvèrent des simulateurs d'un tout autre genre que ceux de vol, j'y consacrerai du temps une fois que je serai sûre et certaine d'être capable de piloter Phoenyx et Viper si la situation l'exige, et elle l'exigera ...
Jour 65 : Thomas
Cette citadelle est une architecture bien étrange. Un heptagone à sept étages, comme quoi c'est un chiffre qui semble réellement avoir de l'importance. Sept équipes restantes, sept cycles, et je parie qu'il y a quelque chose que nous ignorons au sein des cycles eux même, six épreuves par cycle, c'est louche quand on voit à quel point le sept se répète ... Afin de me changer les idées, à force de vagabonder de simulateurs en simulateurs à fuir le regards des membres des équipes étrangères, j'avais besoin d'une pause. Je suis donc parti en solitaire pour un énième tour de la forteresse.
Le premier étage, c'est le sous-sol. Un vaste hangar d'un diamètre largement supérieur au bâtiment qui le surplombe. On y a trouvé des Lynx, des Scarab et des Scorpions en très grand quantités. Au moins deux tanks et cinq à six autres véhicules de chaque par équipes. Mais surtout, il y a les appareils aériens. Les Vipers, sortes d'hélicoptères à deux rotors de taille relativement restreinte. Lorsque les rotors sont verticaux, l'engin vole comme un hélicoptère normal, mais en inclinant les rotors à l'horizontal, l'engin gagne considérablement en vitesse en perdant ses capacités de vol stationnaires. Il a une faible capacité de transport à l'arrière, quatre hommes sur des sièges quasis suspendus au dessus du vide, ou un Scorpion sans équipage. Il est armé d'un mitrailleuse de gros calibre sous le cockpit et de quelques roquettes non-guidées sur ses flancs.
Le Phoenyx, là c'est une autre histoire. Même système de vol, mais trente mètres d'envergure, des rotors de taille conséquente et une capacité de transport de vingt hommes et de matériel ou d'un Scarab et de son équipage. Il y a un sas à l'arrière pour débarquer rapidement les hommes ou le véhicule et une trappe d'assaut à l'avant, juste sous le cockpit, qui ne peut laisser passer qu'une personne à la fois. Mais cette porte est couverte par une mitrailleuse du même calibre équivalente que celle des Viper. En plus des roquette, le vrais armement des Phoenyx, ce sont les doubles auto-canons de 37mm qui garnissent les flanc du monstres. Le pilote peut les faire tirer droit devant, mais tout comme la mitrailleuse frontale, l'équipage peut les téléguider pour plus de précision. Le titre de canonnière n'est pas un hasard, ni leur nombre, une seule par équipe, sept Phoenyx. En cherchant un peu sur les terminaux, il s'avère que les véhicules terrestres sont des restes de matériels militaires destinés aux rebuts, les véhicules aériens eux, sont des séries d'appareils d'essais n'ayant jamais dépassés les stades de prototype pour des projets gouvernementaux américains ou européens d'ADAV. Il n'y a pour l'instant aucune information sur le navire amarré dans le port si ce n'est son nom : Léviathan. Six types véhicules, ais je raison de croire en l'existence d'une septième catégorie ?
Tous ces véhicules remontent à la surface par de grands monte-charges débouchant sur le macadam. Un par face de la citadelle. Il y en a également un huitième au centre de celle-ci, il donne sur le toit pour des véhicules aériens mais sert aussi à déplacer un grand nombre de personnes entre les étages visiblement. Le second étage est le rez de chaussé, un hangar plus petit où seront stockés de toute évidence, des véhicules en réparation ou prêt à être déployés. Le troisième étage est une armurerie et des ateliers, une parties des locaux nous sont encore inaccessibles, je suis sûr et certain que ça a un lien avec ceux qui s'entraînent au port de l'armure dans les simulateurs et les parcours de tir du quatrième étage. Au cinquième étage, divisés en sept cellules indépendantes, il y a les des sanitaires, des buanderies et surtout des dortoirs. Pour la première fois depuis notre arrivée sur cette île, nous allons avoir un peu d'intimité car chaque lit est un chambre individuelle.
Le sixième étage est un lieux de vie : salle de sport, salle de jeux, grand réfectoire et toute aussi grande cuisine pour l'alimenter. Quarante personnes peuvent y manger à l'aise et les quatre vingt que nous sommes y tiennent également, pour peu qu'on se serre. Mais le plus important, c'est le septième étage, le dernier avant le toit. Je suis bien seul à y errer pour l'instant, mais je crois qu'il y aura prochainement de l'animation en permanence ici. Il y a une grande salle de contrôle similaire à ce que nous avons connu à bord des simulateurs de combats spatiaux mais en bien plus vaste. Trois salles de réunions pouvant accueillir une dizaine de personnes, et une dernière pouvant tous nous accueillir. De grandes choses vont se passer ici ...
Jour 66 : Florence
J'ai lamentablement échoué aux simulations de vols, autant voler dans un ciel dégagé était facile à apprendre, autant les épreuves plus complexes de combats dans des villes pleines d'obstacles et sous un feu ennemis se terminaient systématiquement par un câlin avec un bâtiment. Les commandes sont vraiment simplifiées par rapport à ce à quoi je m'attendais : deux pédales pour tourner à plat à gauche et à droite, un manche pour le pilotage avec des commandes pour le tir, un levier pour l'inclinaison des rotors, un autre pour la vitesse et une douzaine de boutons avec une légende mise bien en évidence. Avec des commandes aussi simples, sur les quatre-vingt survivants, nous aurons sans peines nos pilotes.
Je me demande ce qui est différents par rapport à la réalité ? Les technologies militaires sont censées être les plus high tech, alors comment pourrions nous bénéficier de programmes suffisamment puissant que pour nous simplifier la vie alors que les armées des grandes nations n'en ont pas ? Ceux qui nous amenés ici pour organiser cette infamie sont ils si puissants que pour restreindre le marché de la technologie ? Pour avoir récupéré une île, tout ce matériel et ses milliers d'enfants soldats, ils sont à coup sûr des hommes figurant dans le haut de la liste des plus puissants du monde. Ou bien sont ils simplement convaincu que notre vie a si peu de valeur que quelques crash pour cause d'une formation trop rapide les divertiraient ... avec du recul ... je crois que c'est ça ... puuuuutain ...
Quoiqu'il en soit, ayant échoué au pilotage, j'ai été jeter un coup d’œil aux formations des armures. Nous avons le choix entre deux modèles, une armure à peine plus résistante que les tenues saturées de gilets pare-balles que nous portions déjà, mais équipées de jetpack ayant une autonomie de quinze seconde. Ou bien d'énormes armures, assistées de petits moteurs aidant à se déplacer malgré leur poids monstrueux. Entre un blindage médiocre et une fusée à réaction sur le dos ou une massive armure de chevalier à la protection infaillible, je crois bien que tout le monde s'est précipité sur les simulateurs d'armures assistées, et nous avons déchanté.
Elles nécessitent une machine pour être revêtue et rien que l'idée de la manière recommandée pour faire ses besoins va me donner des cauchemars pour toute une semaine. Et puis, malgré l'aide des moteurs pour supporter le poids de cette chose, sa mobilité est médiocre. Les simulateurs consistent en des parcours de tirs , pour ceux ayant réussis les épreuves préliminaires, où l'armure d'essais est maintenue par des bras mécaniques reliés à des rails au plafond. J'ai donc pu observer ceux qui l'essayaient, et encore, il s'agissait des cas les plus prometteurs. Avec la grâce d'un éléphant, ils se déplaçait comme l'un de ces monstres imposant et patauds des films fantastiques. Alors même si le blindage pouvait encaisser multitudes de tirs de fusils des démons avant de se fragiliser, si c'étaient juste pour se faire facilement encercler et ne pas pouvoir fuir avec une grenade aux pieds ... j'ai abandonné l'idée et je suis retournée dans le simulateurs des armures à réacteurs, mal m'en a prit ...
Sans les bras mécaniques, j'aurais redécoré les murs un nombre incalculable de fois. Quand je me disais que nos ravisseurs avaient la main mise sur les nouvelles technologies, je ne pouvais être plus proche de la vérité. Les casques de ces armures sont pourvus de récepteurs de l'activité neuronale, j'avais entendu parler de ça dans des rubriques de vulgarisation scientifique mais de là à l'essayer en vrais sur un équipement qui serait notre seule défense contre les balles, j'en avais la chair de poule. Avant d'enfiler l'armure d'essais, j'ai passée six heures avec seulement ce fameux casque sur la tête, à essayer d'allumer plus ou moins fort une ampoule rien qu'en imaginant le mouvement d'un de mes membres, puis d'un membre imaginaire auquel associer la mise à feu du jet pack et la régulation de sa puissance. Quand enfin, le simulateur m'a donné accès aux essais en armure réelle, j'étais tellement euphorique après autant de tentatives infructueuses, qu'au lieux d'aller dormir, j'ai passé six heures de plus sur ce parcours de tir infernal, à virevolter dans tous les sens comme un avion avec une aile cassée.
Tous les chefs d'équipes se sont mis d'accord pour nous obliger à maîtriser au plus vite le pilotage des appareils aériens ou le port de l'une des deux armures, finir massacrée par les démons me paraît soudainement être un sort plus enviable ...
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I'm Back
Mouhahahaha !!!
- ArkenMaîtresse des fouets
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Palmares : Championne de la Reiksguard, Comtesse de la Crypte 2019
Re: [Récit non WHB] Hells Island
Lun 24 Nov 2014 - 12:00
Préparation à la baston générale !
Bah du coup, j'attends la baston générale !!
Bah du coup, j'attends la baston générale !!
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Re: [Récit non WHB] Hells Island
Lun 24 Nov 2014 - 12:31
MORE HIGH TECH !
Ah, les merveilles de la science que déploie l'être humain pour joyeusement massacrer son prochain... J'avoue que ça me manque un peu dans notre univers médiévalo-archaïque
Je râle encore : c'est toujours trop bon à lire, et toujours trop court ! La suite !
Ah, les merveilles de la science que déploie l'être humain pour joyeusement massacrer son prochain... J'avoue que ça me manque un peu dans notre univers médiévalo-archaïque
Je râle encore : c'est toujours trop bon à lire, et toujours trop court ! La suite !
- GilgaladMaître floodeur
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Palmares : Champion d'Ubersreik
Re: [Récit non WHB] Hells Island
Lun 24 Nov 2014 - 13:14
Entièrement d'accord avec mes deux compères au-dessus. C'est toujours trop court pour nous.
Vivement la suite
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- TeotiqaxSquelette
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Re: [Récit non WHB] Hells Island
Lun 24 Nov 2014 - 18:50
Je suis d’accord avec le trois autres lecteurs mais une faute: « en inclinant les rotors à l’horizontal » ici c’est « horizontale » la position horizontale. En dehors de ça pas grand chose de plus à dire que: la suite
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