Les lignées perdues
Mer 16 Mai 2018 - 21:30
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Lien vers le document traduit dans la langue de Molière
Écris par de Steve Darlington
Traduit de l'anglais par @Nyklaus von carstein, avec la participation de @Hjalmar Oksilden et de @vg11k
Je ne recopie ici que le background traduit par nos membres.
Le détails des règles de jeu se trouve dans les .pdf partagés plus haut.
Lignées Perdues
Supplément apocryphe pour les Maîtres de la Nuit
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Lignées Perdues
Supplément apocryphe pour les Maîtres de la Nuit
Les Sangs de Jade
“Inviter les mortels sur le champ de bataille revient à envoyer des perles aux pourceaux. Mais que pouvons-nous faire d’autre qu’espérer éclairer les créatures inférieures de ce monde ? “
– Maître des Milles Mains coupées
Histoire
Parmi la Cour des Immortels de Lahmia, personne n’était si opposé au sensualiste Maatmeses que le rigide eunuque Harakhte, Président de la Cour Suprême et Grand Bourreau. Près de deux mètres de haut et extrêmement mince, il pouvait se déplacer à travers le palais comme une gigantesque araignée, traquant sans relâche n’importe quelle trahison ou le moindre chuchotement de sédition. Ses hommes faisaient de même dans les rues, fournissant à sa Reine toutes les connaissances des rues en dessous et des couloirs à l’intérieur de sa cité, afin qu’elle puisse régner d’en haut.
Pour le minaudant Harakhte, l’Élixir de Vie n’était qu’une autre teinture, un autre médicament, qu’il prenait pour préserver sa longue vie et conjurer les nombreuses déprédations de son âge avancé. Même la Reine ne connaissait pas son âge et l’émacié inquisiteur n’en parlait jamais. Certaines rumeurs disaient qu’il avait déjà appris les secrets de l’immortalité durant ses voyages à Cathay grâce aux sorciers qu’il y avait rencontrés. Personne ne sait non plus pourquoi il a quitté la ville - que ce soit une coïncidence bienheureuse qu’il ait été en mission diplomatique à l’Est ou qu’il ait appris bien en avance l’arrivée de l’armée d’Alcadizaar. Peu importe la vérité, il a bel et bien bu l’Élixir et a été épargné de la terrible chute de Lahmia, continuant encore à vivre dans la lointaine Cathay où les épices sont plus riches et les stimulants plus exquis.
Durant son voyage, il a pris avec lui la plupart de ses plus qualifiés courtisans, scribes, enquêteurs, gardes et tortionnaires, à qui il a également donné le Baiser de Sang pour qu’ils ne puissent jamais quitter son service. Lorsqu’ils atteignirent Cathay, Harakhte a envoyé chacun d’eux dans l’une des treize provinces afin d’examiner les pouvoirs dirigeants et déterminer où placer le mieux sa force. Cependant, l’un après l’autre, chacun de ses intendants le trahirent, s’installant rapidement comme les pouvoirs dirigeants de chaque province. De grandes guerres firent rage à travers Cathay et Harakhte abattit quatre de ses serviteurs arrivistes avant que les provinces ne tombent dans l’anarchie. Finalement, de nouveaux pouvoirs ont émergé, certains gouvernés ouvertement par les fils de Harakhte, d'autres manipulés dans les ombres, et d'autres ne montrant aucun signe de la présence d'un vampire : ils étaient soit morts, soit dormant, soit simplement très bons pour dissimuler leur présence. La guerre s'étant révélée être un moyen inefficace de traiter avec leurs ennemis, chacun d'entre eux commença à conspirer et à comploter.
Depuis ce jour, Cathay est déchiré par des conflits internes, car chaque vampire encore en vie a des projets qui s’étendent sur plusieurs milliers d'années contre ses ennemis. Avec l'âge, les maladies et les dépendances dont ils ont hérité de leur maître ont ravagé leur corps, et ils ont besoin de plus en plus de remèdes au fil des décennies. Leurs yeux se voilent, leur peau devient translucide et leur sang est devenu un suintement d'ichor vert vif. C'est ainsi que les quelques saints autorisés à regarder ces anciens monarques les connaissent sous le nom de Sang de Jade.
Société et attitude
Les Sangs de Jade croient en la loi. Harakte lui-même a élaboré un ensemble de lois très strictes - avec neuf cents amendements - pour la ville de Lahmia, et il l'a apporté avec lui à Cathay. Ces lois ne concernent pas seulement les actes criminels, mais aussi la position et le fonctionnement de tous les aspects de la société. Tous ses disciples y adhèrent rigoureusement et sans dérogation car sans loi, il n'y a rien. L'art vient donc du fait de connaître les 900 Amendements au point que l'un peut les utiliser à son avantage contre d'autres. Ainsi, les monarques passent souvent des décennies à contempler les amendements et leur signification.
Le droit et l'érudition sont les deux piliers de la vie des Sangs de Jade. En effet, il y a du plaisir dans les stimulants, de la noblesse dans la tradition, et même de la gloire dans la victoire, mais ce sont des distractions momentanées, qui ne valent rien si elles sont réalisées au détriment de préoccupations premières. Tout a un temps, un lieu et une méthode appropriée, et de telles choses doivent être observées, même si les règles ont été conçues il y a trois millénaires, et sont maintenant souvent vides de sens ou à moitié oubliées. La tradition et l'histoire sont sacro-saintes pour les Sangs de Jade, ignorer quoi que ce soit du passé revient à piétiner la grande histoire de Cathay et du paradis Lahmien. Bien sûr, les monarques ne voient pas l'intérêt d'essayer de reconquérir ou de reconstruire cette ville du passé ; l'esprit de Lahmia est en eux, et ils le reconstruisent chaque jour dans leur esprit.
Chacun des monarques croit cependant que lui et lui seul se souvient des vraies coutumes de Lahmia, et possède la plus grande maîtrise des 900 Amendements. Ils doivent donc faire la guerre à leurs semblables pour éradiquer leurs manières maladroites et insensées, jusqu'à ce qu'il ne reste plus que la loi parfaite. Cela peut prendre mille ou dix mille ans, mais la construction d'une tour vers le paradis n'est jamais un travail rapide ou facile.
Bien qu'aussi rapides et mortels que la plupart de leurs cousins vampires, ils ne participent que rarement au combat - de telles choses sont, selon les Amendements, plus adaptées à d’autres. S'ils sont attaqués, ils préfèrent se transformer en serpents mortels et s’éclipser avec à peine plus une morsure au passage. Lorsqu'ils se battent, ils préfèrent frapper depuis les ombres avec des lames empoisonnées ou leurs propres griffes tout aussi venimeuses. Ils puisent ce poison de leur chair, car leur propre sang est toxique. Tous ceux qui les frappent trouvent leur lame couverte de liquide vert fétide, et tous ceux dont ils se nourrissent sont frappés par un fléau. Le fait d'être en leur présence revient à réprimer des hautle-cœur causés par l'odeur nauséabonde de drogues dures et de chair pourrie, et ceux qui vivent cette expérience ne se souviennent guère plus qu'une brume narcotique et nuageuse.
Cela permet aux Sang de Jade de préserver leur statut mystérieux et divin auprès de leurs disciples, et leurs serviteurs éternellement fidèles forment un culte autour de leur vie immortelle. Chaque serviteur mourrait pour son souverain, et se battra fanatiquement pour arrêter quiconque lui ferait du mal ou agirait contre son gré. Ces armées massives de guerriers zélés s'étoffent d'énormes rangs de zombies et de revenants, donnant à chaque Sang de Jade sa propre armée personnelle gigantesque. Et l’art de la guerre, c'est leur affaire.
Alimentation et reproduction
Il est interdit pour les Sangs de Jade de créer de nouveaux vampires, car considéré comme imprudent et malsain. Qui aurait en effet besoin d'un nouvel ennemi alors qu'il en existe déjà tant ? Cependant, comme tout ce qui est interdit, cela se produit. Au cours des millénaires, leurs effectifs ont lentement mais sûrement augmenté. Bien qu'ils soient la lignée vampirique la moins nombreuse, leur pouvoir reste toujours sous le contrôle du conclave, entre les mains d'une vingtaine d'êtres extrêmement puissants. Ceux qui n'apprennent pas à maîtriser les Amendements et à surveiller leurs arrières seront anéantis par leurs rivaux quelques années plus tard. Un nouveau-né qui n'est pas noble après une décennie ou deux n'est pas fait pour ce monde.
Les Sangs de Jade sont généralement nourris par leurs fidèles cultistes, qui leur rapportent de nouvelles victimes aussi souvent que possible. Certains des Sangs de Jade ont totalement oublié comment tuer quelqu'un et leurs disciples doivent donc approcher la gorge nue des victimes de leurs bouches suppliantes, ou les Sangs de Jade tranchent la gorge desdites victimes avec leurs griffes plutôt que leurs crocs et drainent le sang directement dans leurs narguilés pour le mélanger avec leur opium et leurs épices. La plupart des victimes sont vidées de leur sang. Ceux qui survivent portent ce que les paysans appellent la Mort Dégénérative, une terrible maladie qui provoque folie, fièvre et atrophie, car la chair se meurt de l'extérieur vers l'intérieur. Considérés par le culte comme étant les plus bénies, ces victimes peuvent retourner chez elles avec difficulté pour y mourir dans l'agonie et la terreur, incapables de parler de la créature monstrueuse qui les tétait comme un bébé affamé.
Tactiques et Stratagèmes
En dehors de la contemplation des Amendements et de la destruction de leurs rivaux, les Sangs de Jade n'ont pas d'objectifs à long terme. Au contraire, la destruction de leurs rivaux est un objectif qui requiert toute leur attention, et chaque décision qu'ils prennent fait partie intégrante de leur plan pour y parvenir. Pour les humains qui les observent, cela peut sembler être une terrible guerre qui a recommencé, provoquant le massacre de milliers de personnes, mais pour les monarques situés dans leurs forteresses dans les montagnes, ce n'est qu'un infime déplacement sur un échiquier de la taille du monde, pour une partie qui durera éternellement. La trahison et la tromperie se nourrissent l'une de l'autre comme un dragon mangeant sa propre queue, ce qui fait que le jeu se poursuivra à jamais. Pour un mortel, faire partie d'un tel jeu est un honneur ; le fait de connaître ne serait-ce que quelques mouvements et d'avoir un aperçu de leurs significations est un privilège rare qui peut donner à sa vie pathétique une lueur de sens. Ou peut-être pas. La vie des mortels ne préoccupe guère les Sangs de Jade. Il n'y a que la loi, l'érudition et le jeu qui importent.
Pour le minaudant Harakhte, l’Élixir de Vie n’était qu’une autre teinture, un autre médicament, qu’il prenait pour préserver sa longue vie et conjurer les nombreuses déprédations de son âge avancé. Même la Reine ne connaissait pas son âge et l’émacié inquisiteur n’en parlait jamais. Certaines rumeurs disaient qu’il avait déjà appris les secrets de l’immortalité durant ses voyages à Cathay grâce aux sorciers qu’il y avait rencontrés. Personne ne sait non plus pourquoi il a quitté la ville - que ce soit une coïncidence bienheureuse qu’il ait été en mission diplomatique à l’Est ou qu’il ait appris bien en avance l’arrivée de l’armée d’Alcadizaar. Peu importe la vérité, il a bel et bien bu l’Élixir et a été épargné de la terrible chute de Lahmia, continuant encore à vivre dans la lointaine Cathay où les épices sont plus riches et les stimulants plus exquis.
Durant son voyage, il a pris avec lui la plupart de ses plus qualifiés courtisans, scribes, enquêteurs, gardes et tortionnaires, à qui il a également donné le Baiser de Sang pour qu’ils ne puissent jamais quitter son service. Lorsqu’ils atteignirent Cathay, Harakhte a envoyé chacun d’eux dans l’une des treize provinces afin d’examiner les pouvoirs dirigeants et déterminer où placer le mieux sa force. Cependant, l’un après l’autre, chacun de ses intendants le trahirent, s’installant rapidement comme les pouvoirs dirigeants de chaque province. De grandes guerres firent rage à travers Cathay et Harakhte abattit quatre de ses serviteurs arrivistes avant que les provinces ne tombent dans l’anarchie. Finalement, de nouveaux pouvoirs ont émergé, certains gouvernés ouvertement par les fils de Harakhte, d'autres manipulés dans les ombres, et d'autres ne montrant aucun signe de la présence d'un vampire : ils étaient soit morts, soit dormant, soit simplement très bons pour dissimuler leur présence. La guerre s'étant révélée être un moyen inefficace de traiter avec leurs ennemis, chacun d'entre eux commença à conspirer et à comploter.
Depuis ce jour, Cathay est déchiré par des conflits internes, car chaque vampire encore en vie a des projets qui s’étendent sur plusieurs milliers d'années contre ses ennemis. Avec l'âge, les maladies et les dépendances dont ils ont hérité de leur maître ont ravagé leur corps, et ils ont besoin de plus en plus de remèdes au fil des décennies. Leurs yeux se voilent, leur peau devient translucide et leur sang est devenu un suintement d'ichor vert vif. C'est ainsi que les quelques saints autorisés à regarder ces anciens monarques les connaissent sous le nom de Sang de Jade.
Société et attitude
Les Sangs de Jade croient en la loi. Harakte lui-même a élaboré un ensemble de lois très strictes - avec neuf cents amendements - pour la ville de Lahmia, et il l'a apporté avec lui à Cathay. Ces lois ne concernent pas seulement les actes criminels, mais aussi la position et le fonctionnement de tous les aspects de la société. Tous ses disciples y adhèrent rigoureusement et sans dérogation car sans loi, il n'y a rien. L'art vient donc du fait de connaître les 900 Amendements au point que l'un peut les utiliser à son avantage contre d'autres. Ainsi, les monarques passent souvent des décennies à contempler les amendements et leur signification.
Le droit et l'érudition sont les deux piliers de la vie des Sangs de Jade. En effet, il y a du plaisir dans les stimulants, de la noblesse dans la tradition, et même de la gloire dans la victoire, mais ce sont des distractions momentanées, qui ne valent rien si elles sont réalisées au détriment de préoccupations premières. Tout a un temps, un lieu et une méthode appropriée, et de telles choses doivent être observées, même si les règles ont été conçues il y a trois millénaires, et sont maintenant souvent vides de sens ou à moitié oubliées. La tradition et l'histoire sont sacro-saintes pour les Sangs de Jade, ignorer quoi que ce soit du passé revient à piétiner la grande histoire de Cathay et du paradis Lahmien. Bien sûr, les monarques ne voient pas l'intérêt d'essayer de reconquérir ou de reconstruire cette ville du passé ; l'esprit de Lahmia est en eux, et ils le reconstruisent chaque jour dans leur esprit.
Chacun des monarques croit cependant que lui et lui seul se souvient des vraies coutumes de Lahmia, et possède la plus grande maîtrise des 900 Amendements. Ils doivent donc faire la guerre à leurs semblables pour éradiquer leurs manières maladroites et insensées, jusqu'à ce qu'il ne reste plus que la loi parfaite. Cela peut prendre mille ou dix mille ans, mais la construction d'une tour vers le paradis n'est jamais un travail rapide ou facile.
Bien qu'aussi rapides et mortels que la plupart de leurs cousins vampires, ils ne participent que rarement au combat - de telles choses sont, selon les Amendements, plus adaptées à d’autres. S'ils sont attaqués, ils préfèrent se transformer en serpents mortels et s’éclipser avec à peine plus une morsure au passage. Lorsqu'ils se battent, ils préfèrent frapper depuis les ombres avec des lames empoisonnées ou leurs propres griffes tout aussi venimeuses. Ils puisent ce poison de leur chair, car leur propre sang est toxique. Tous ceux qui les frappent trouvent leur lame couverte de liquide vert fétide, et tous ceux dont ils se nourrissent sont frappés par un fléau. Le fait d'être en leur présence revient à réprimer des hautle-cœur causés par l'odeur nauséabonde de drogues dures et de chair pourrie, et ceux qui vivent cette expérience ne se souviennent guère plus qu'une brume narcotique et nuageuse.
Cela permet aux Sang de Jade de préserver leur statut mystérieux et divin auprès de leurs disciples, et leurs serviteurs éternellement fidèles forment un culte autour de leur vie immortelle. Chaque serviteur mourrait pour son souverain, et se battra fanatiquement pour arrêter quiconque lui ferait du mal ou agirait contre son gré. Ces armées massives de guerriers zélés s'étoffent d'énormes rangs de zombies et de revenants, donnant à chaque Sang de Jade sa propre armée personnelle gigantesque. Et l’art de la guerre, c'est leur affaire.
Alimentation et reproduction
Il est interdit pour les Sangs de Jade de créer de nouveaux vampires, car considéré comme imprudent et malsain. Qui aurait en effet besoin d'un nouvel ennemi alors qu'il en existe déjà tant ? Cependant, comme tout ce qui est interdit, cela se produit. Au cours des millénaires, leurs effectifs ont lentement mais sûrement augmenté. Bien qu'ils soient la lignée vampirique la moins nombreuse, leur pouvoir reste toujours sous le contrôle du conclave, entre les mains d'une vingtaine d'êtres extrêmement puissants. Ceux qui n'apprennent pas à maîtriser les Amendements et à surveiller leurs arrières seront anéantis par leurs rivaux quelques années plus tard. Un nouveau-né qui n'est pas noble après une décennie ou deux n'est pas fait pour ce monde.
Les Sangs de Jade sont généralement nourris par leurs fidèles cultistes, qui leur rapportent de nouvelles victimes aussi souvent que possible. Certains des Sangs de Jade ont totalement oublié comment tuer quelqu'un et leurs disciples doivent donc approcher la gorge nue des victimes de leurs bouches suppliantes, ou les Sangs de Jade tranchent la gorge desdites victimes avec leurs griffes plutôt que leurs crocs et drainent le sang directement dans leurs narguilés pour le mélanger avec leur opium et leurs épices. La plupart des victimes sont vidées de leur sang. Ceux qui survivent portent ce que les paysans appellent la Mort Dégénérative, une terrible maladie qui provoque folie, fièvre et atrophie, car la chair se meurt de l'extérieur vers l'intérieur. Considérés par le culte comme étant les plus bénies, ces victimes peuvent retourner chez elles avec difficulté pour y mourir dans l'agonie et la terreur, incapables de parler de la créature monstrueuse qui les tétait comme un bébé affamé.
Tactiques et Stratagèmes
En dehors de la contemplation des Amendements et de la destruction de leurs rivaux, les Sangs de Jade n'ont pas d'objectifs à long terme. Au contraire, la destruction de leurs rivaux est un objectif qui requiert toute leur attention, et chaque décision qu'ils prennent fait partie intégrante de leur plan pour y parvenir. Pour les humains qui les observent, cela peut sembler être une terrible guerre qui a recommencé, provoquant le massacre de milliers de personnes, mais pour les monarques situés dans leurs forteresses dans les montagnes, ce n'est qu'un infime déplacement sur un échiquier de la taille du monde, pour une partie qui durera éternellement. La trahison et la tromperie se nourrissent l'une de l'autre comme un dragon mangeant sa propre queue, ce qui fait que le jeu se poursuivra à jamais. Pour un mortel, faire partie d'un tel jeu est un honneur ; le fait de connaître ne serait-ce que quelques mouvements et d'avoir un aperçu de leurs significations est un privilège rare qui peut donner à sa vie pathétique une lueur de sens. Ou peut-être pas. La vie des mortels ne préoccupe guère les Sangs de Jade. Il n'y a que la loi, l'érudition et le jeu qui importent.
Mahtmasi : Les Enfants du Charognard
“Je suis beaucoup plus vieux que votre pathétique empire, et je lui subsisterai quand il retournera à la poussière. Et maintenant... mes enfants vont se nourrir…”
– entendu par un serviteur lors de l'assassinat nocturne du calife Al-Haramba
Histoire
Personne ne sait avec certitude combien de personnes de la cour décadente de la reine Neferata ont bu son Elixir de Vie. Ce que l'on sait, cependant, c'est que les cinq Premiers-Nés ont enseigné au Vieux Monde à les craindre et qu'ils sont loin d'être seuls.
À la cour de la Reine, Maatmeses était connu comme étant le Vizir et le Grand Chancelier. Ses fonctions officielles consistaient à gérer la demeure et les coffres de sa Majesté. Dans la plupart des cas, Maatmeses ne fit ni l'un ni l'autre, préférant plutôt profiter des grands plaisirs offerts au palais, et se servir dans les coffres royaux. Il devint obèse et très indolent, tout en conservant sa capacité exceptionnelle à se faufiler discrètement et espionner ses congénères - ainsi que son endurance tout aussi surnaturelle avec les femmes.
Ce n'est qu'avec l'arrivée de Vashanesh que sa corruption fut mise au grand jour. Voyant le nouveau guerrier arriver et entendant ses avertissements, Maatmeses n'attendit pas d'être découvert et s'enfuit immédiatement. Sa lâcheté et sa trahison exaspérèrent la Reine des ténèbres à tel point qu'elle envoya une horde de soldats à sa recherche. Faute d'alliés et terrifié par la terreur des représailles qu'elle pouvait lui infliger, le corpulent Maatmeses couru dans le seul endroit où il pouvait se cacher : le Grand Désert d'Arabie.
Même une créature mort-vivante ne peut survivre dans l'enclume du diable. Et en réalité, rien ne le fit. Maatmeses s'effondra dans le sable lorsque la folie ne put pousser son corps plus loin. Et puis vinrent les insectes : les bousiers, les scarabées du désert et les mouches des marais, qui commencèrent à le dévorer. Mais comme il était immortel grâce à l'Elixir de Vie, il ne pouvait mourir. Chaque jour, ils mangeaient de plus en plus de sa chair et exposaient un plus grand nombre d'organes en décomposition, tout en donnant naissance à de nouveaux insectes. Chaque jour, la chair repoussait, s'entrelaçant avec les insectes qui creusaient des tunnels à travers lui. Bientôt, sa graisse disparut, le vent et la chaleur enlevèrent ce que les insectes ne faisaient pas. Il est devenu un cadavre vivant, sa chair sécha pour devenir aussi dure que du cuir bouilli, et ses organes sont composés autant d’insectes grouillants que de chair. Nul ne pouvait dire où l'homme finissait et où l'insecte commençait, mais ensemble, ils trouvèrent une force nouvelle, et Maatmeses traversa le désert, se retrouvant en Arabie.
Ayant besoin d'alliés, il massacra une tribu guerrière et en fit ses esclaves morts-vivants. Les meilleurs d'entre eux devinrent ses enfants, et ils héritèrent de sa forme délabrée et de son affinité avec le grand essaim. Ils possèdent couramment de grandes ailes dans le dos, et certains émettent d'horribles cliquetis au lieu de parler. Tous ont aussi hérité de la capacité de leur maître à se faufiler discrètement, mais Maatmeses ne se préoccupe plus de l'argent. Il prend désormais des vies au lieu de l'or, et il se délecte dans la décadence plutôt que dans le plaisir, jusqu'à ce que le monde devienne ce qu'il est. Son nom leur étant étranger, il était néanmoins proche de Maht-masa, qui signifie "enfant de la mort". C'est ainsi que les Mahtmasi naquirent.
Société et attitude
Contrairement aux autres lignées, les Mahtmasi entretiennent des liens très forts, évitant l'individualisme de leurs cousins du Nord. Ils vivent au sein de grandes tribus et travaillent ensemble pour atteindre les objectifs de leur maître. Ils sont également singuliers en ce sens qu'ils sont ravis de vendre leurs services au plus offrant - tant qu'ils sont payés pour faire un massacre. Les Mahtmasi prennent un malin plaisir à regarder les soi-disant humains moraux leur payer d'énormes sommes d'or pour s'assurer qu'ils tuent quelqu'un d'autre. Ils ont peu d'intérêt pour l'or en soi, mais ils apprécient les vices qu'il encourage chez les mortels, et en gardent de grandes quantités dans leurs cavernes pour attirer les voleurs et les opportunistes.
Ils n'ont donc pas besoin d'or ou d'argent pour les mener à leur perte. Tout ce qu'ils font, c'est de s'assurer de la direction de leur vague meurtrière. Ils sont semblables à des sauterelles, se déplaçant d'un endroit à l'autre en se nourrissant des êtres vivants jusqu'à ce qu'il n'en reste plus rien, pour ensuite laisser les morts pourrir et puiser leur force dans les putrides ichors qui en surgissent, ainsi que dans les nuées d'insectes qui affluent et infestent les cadavres.
Parmi leurs tribus il existe une figure de chef, typiquement le plus fort, âgé et dépravé du groupe. Tous les membres de la tribu sont liés au vénérable Maatmeses, qui réside encore aujourd'hui dans une grotte au fond du désert, s'unissant chaque siècle davantage au monde des insectes. Certains disent qu'il a fait un sombre pacte avec le Maître des mouches lui-même ; d'autres prétendent qu'il a l'intention de renverser le Dieu Nurgle et de prendre sa place.
N'ayant pas le besoin (ou la capacité à acquérir) les plaisirs de la vie, les Mahtmasi ne vivent que pour le massacre et le combat. Ils prouvent leur force, puis ils se complaisent dans la destruction et la ruine qu'ils laissent derrière eux. Ils tuent sans réflexion ou pensées, puis dansent au milieu des entrailles suintantes, se drapant dans des viscères pourris, se gavant de cafards et d'asticots et s'amusent avec les cadavres démembrés des femmes.
Une fois qu'ils ont terminé, ils passent à la ville ou à la caravane suivante, puis à celle d'après et ainsi de suite...
Alimentation et reproduction
Comme les Stryges, les Mahtmasi ont appris à survivre grâce au sang des créatures et des morts. Cela leur donne une apparence émaciée et bestiale, mais nécessaire pour leur survie face à la rudesse du désert. Ils ne savent jamais d'où viendra leur prochaine source de sang. Ils n'en gaspillent donc pas une goutte et se nourrissent partout où ils en trouvent. Ils ne sont pas contre boire le sang de leur semblables, et n'ont pas ce tabou qu'ont les autres lignées de vampires. Les Mahtmasi se reproduisent rarement, car leur nombre est limité par leur environnement, et peu de gens désirent rejoindre leurs rangs. Il leur arrive parfois de convertir de force les guerriers les plus courageux et forts qui ont tenté de leur résister, ou le fier prince qui pensait pouvoir écarter la menace qu'ils représentent.
Tactiques et Stratagèmes
Les Mahtmasi sont presque totalement fous et ils suivent les ordres de leur chef aliéné qui se prend pour un dieu. En tant que tels, ils n'ont pas d'autre plan que de transformer le monde entier en une fosse charnelle afin de se nourrir tels des larves. Le monde entier est un cadavre à leurs yeux ou il ne tardera pas à le devenir. Jusqu'à présent, seul le désert a ralenti leurs efforts visant à détruire l'ensemble de l'Empire Arabien. Les califes mesquins et querelleurs des grandes villes n'ont cependant jamais produit une armée unifiée dans le but de les anéantir, sachant que ces monstres ont la capacité à se dissimuler facilement dans le grand désert ou dans la Terre des Morts, où aucun mortel ne peut survivre. Ils y demeurent typiquement, s'attaquant aux petits villages et aux caravanes solitaires, dévorant les voyageurs sans méfiance et rendant généralement les terres arides très mauvaises.
Cela ne signifie pas pour autant qu'ils sont inconnus dans les villes. Bien qu'ils ne puissent pas passer pour des humains, ils peuvent se faufiler sans difficulté dans l'ombre en portant un burnous et un chèche. Une fois à l'intérieur des villes, ils peuvent répandre leur décomposition et leur mort de manière plus rusée, avec des lames empoisonnées et des assassinats furtifs. Progressivement, ils sapent les fondations du pouvoir d’une ville et se débarrassent des gardes afin d'ouvrir les portes pour le reste de leurs frères en toute sécurité, tous prêts pour des carnages à répétition. Malgré leur nature destructrice, leurs prouesses meurtrières restent très prisées et de stupides princes continuent à les inviter dans leurs villes afin qu'ils prennent soin de leurs ennemis inattaquables.
La combinaison de leurs intrigues dans les villes et leurs attaques sur les campagnes et les caravanes commerciales par des sauterelles a eu un effet terrible sur l'Empire Arabien. Bien que leurs effectifs ont augmenté très lentement, ils sont devenus, au cours du dernier millénaire, une force aussi destructrice pour cette terre que les maraudeurs du Chaos le sont pour Kislev. Leur présence a conduit l'empire Arabien jadis glorieux à s'effondrer dans la peur, le désordre et la décadence. Seules les quatre grandes villes côtières ne sont pas touchées par ces démons nuisibles. Le Grand Sultan n'a réalisé que récemment que son royaume tout entier est sur le point d'être détruit, à moins qu'il ne soit déjà condamné. En désespoir de cause, il a envoyé des émissaires en Estalie, en Bretonnie, en Tilée et dans l'Empire quémander de l'aide et des héros pour lutter contre le terrible Mahtmasi. Seul un fou s'y rendrait mais la promesse de l'honneur et la gloire ridiculise bien des hommes.
À la cour de la Reine, Maatmeses était connu comme étant le Vizir et le Grand Chancelier. Ses fonctions officielles consistaient à gérer la demeure et les coffres de sa Majesté. Dans la plupart des cas, Maatmeses ne fit ni l'un ni l'autre, préférant plutôt profiter des grands plaisirs offerts au palais, et se servir dans les coffres royaux. Il devint obèse et très indolent, tout en conservant sa capacité exceptionnelle à se faufiler discrètement et espionner ses congénères - ainsi que son endurance tout aussi surnaturelle avec les femmes.
Ce n'est qu'avec l'arrivée de Vashanesh que sa corruption fut mise au grand jour. Voyant le nouveau guerrier arriver et entendant ses avertissements, Maatmeses n'attendit pas d'être découvert et s'enfuit immédiatement. Sa lâcheté et sa trahison exaspérèrent la Reine des ténèbres à tel point qu'elle envoya une horde de soldats à sa recherche. Faute d'alliés et terrifié par la terreur des représailles qu'elle pouvait lui infliger, le corpulent Maatmeses couru dans le seul endroit où il pouvait se cacher : le Grand Désert d'Arabie.
Même une créature mort-vivante ne peut survivre dans l'enclume du diable. Et en réalité, rien ne le fit. Maatmeses s'effondra dans le sable lorsque la folie ne put pousser son corps plus loin. Et puis vinrent les insectes : les bousiers, les scarabées du désert et les mouches des marais, qui commencèrent à le dévorer. Mais comme il était immortel grâce à l'Elixir de Vie, il ne pouvait mourir. Chaque jour, ils mangeaient de plus en plus de sa chair et exposaient un plus grand nombre d'organes en décomposition, tout en donnant naissance à de nouveaux insectes. Chaque jour, la chair repoussait, s'entrelaçant avec les insectes qui creusaient des tunnels à travers lui. Bientôt, sa graisse disparut, le vent et la chaleur enlevèrent ce que les insectes ne faisaient pas. Il est devenu un cadavre vivant, sa chair sécha pour devenir aussi dure que du cuir bouilli, et ses organes sont composés autant d’insectes grouillants que de chair. Nul ne pouvait dire où l'homme finissait et où l'insecte commençait, mais ensemble, ils trouvèrent une force nouvelle, et Maatmeses traversa le désert, se retrouvant en Arabie.
Ayant besoin d'alliés, il massacra une tribu guerrière et en fit ses esclaves morts-vivants. Les meilleurs d'entre eux devinrent ses enfants, et ils héritèrent de sa forme délabrée et de son affinité avec le grand essaim. Ils possèdent couramment de grandes ailes dans le dos, et certains émettent d'horribles cliquetis au lieu de parler. Tous ont aussi hérité de la capacité de leur maître à se faufiler discrètement, mais Maatmeses ne se préoccupe plus de l'argent. Il prend désormais des vies au lieu de l'or, et il se délecte dans la décadence plutôt que dans le plaisir, jusqu'à ce que le monde devienne ce qu'il est. Son nom leur étant étranger, il était néanmoins proche de Maht-masa, qui signifie "enfant de la mort". C'est ainsi que les Mahtmasi naquirent.
Société et attitude
Contrairement aux autres lignées, les Mahtmasi entretiennent des liens très forts, évitant l'individualisme de leurs cousins du Nord. Ils vivent au sein de grandes tribus et travaillent ensemble pour atteindre les objectifs de leur maître. Ils sont également singuliers en ce sens qu'ils sont ravis de vendre leurs services au plus offrant - tant qu'ils sont payés pour faire un massacre. Les Mahtmasi prennent un malin plaisir à regarder les soi-disant humains moraux leur payer d'énormes sommes d'or pour s'assurer qu'ils tuent quelqu'un d'autre. Ils ont peu d'intérêt pour l'or en soi, mais ils apprécient les vices qu'il encourage chez les mortels, et en gardent de grandes quantités dans leurs cavernes pour attirer les voleurs et les opportunistes.
Ils n'ont donc pas besoin d'or ou d'argent pour les mener à leur perte. Tout ce qu'ils font, c'est de s'assurer de la direction de leur vague meurtrière. Ils sont semblables à des sauterelles, se déplaçant d'un endroit à l'autre en se nourrissant des êtres vivants jusqu'à ce qu'il n'en reste plus rien, pour ensuite laisser les morts pourrir et puiser leur force dans les putrides ichors qui en surgissent, ainsi que dans les nuées d'insectes qui affluent et infestent les cadavres.
Parmi leurs tribus il existe une figure de chef, typiquement le plus fort, âgé et dépravé du groupe. Tous les membres de la tribu sont liés au vénérable Maatmeses, qui réside encore aujourd'hui dans une grotte au fond du désert, s'unissant chaque siècle davantage au monde des insectes. Certains disent qu'il a fait un sombre pacte avec le Maître des mouches lui-même ; d'autres prétendent qu'il a l'intention de renverser le Dieu Nurgle et de prendre sa place.
N'ayant pas le besoin (ou la capacité à acquérir) les plaisirs de la vie, les Mahtmasi ne vivent que pour le massacre et le combat. Ils prouvent leur force, puis ils se complaisent dans la destruction et la ruine qu'ils laissent derrière eux. Ils tuent sans réflexion ou pensées, puis dansent au milieu des entrailles suintantes, se drapant dans des viscères pourris, se gavant de cafards et d'asticots et s'amusent avec les cadavres démembrés des femmes.
Une fois qu'ils ont terminé, ils passent à la ville ou à la caravane suivante, puis à celle d'après et ainsi de suite...
Alimentation et reproduction
Comme les Stryges, les Mahtmasi ont appris à survivre grâce au sang des créatures et des morts. Cela leur donne une apparence émaciée et bestiale, mais nécessaire pour leur survie face à la rudesse du désert. Ils ne savent jamais d'où viendra leur prochaine source de sang. Ils n'en gaspillent donc pas une goutte et se nourrissent partout où ils en trouvent. Ils ne sont pas contre boire le sang de leur semblables, et n'ont pas ce tabou qu'ont les autres lignées de vampires. Les Mahtmasi se reproduisent rarement, car leur nombre est limité par leur environnement, et peu de gens désirent rejoindre leurs rangs. Il leur arrive parfois de convertir de force les guerriers les plus courageux et forts qui ont tenté de leur résister, ou le fier prince qui pensait pouvoir écarter la menace qu'ils représentent.
Tactiques et Stratagèmes
Les Mahtmasi sont presque totalement fous et ils suivent les ordres de leur chef aliéné qui se prend pour un dieu. En tant que tels, ils n'ont pas d'autre plan que de transformer le monde entier en une fosse charnelle afin de se nourrir tels des larves. Le monde entier est un cadavre à leurs yeux ou il ne tardera pas à le devenir. Jusqu'à présent, seul le désert a ralenti leurs efforts visant à détruire l'ensemble de l'Empire Arabien. Les califes mesquins et querelleurs des grandes villes n'ont cependant jamais produit une armée unifiée dans le but de les anéantir, sachant que ces monstres ont la capacité à se dissimuler facilement dans le grand désert ou dans la Terre des Morts, où aucun mortel ne peut survivre. Ils y demeurent typiquement, s'attaquant aux petits villages et aux caravanes solitaires, dévorant les voyageurs sans méfiance et rendant généralement les terres arides très mauvaises.
Cela ne signifie pas pour autant qu'ils sont inconnus dans les villes. Bien qu'ils ne puissent pas passer pour des humains, ils peuvent se faufiler sans difficulté dans l'ombre en portant un burnous et un chèche. Une fois à l'intérieur des villes, ils peuvent répandre leur décomposition et leur mort de manière plus rusée, avec des lames empoisonnées et des assassinats furtifs. Progressivement, ils sapent les fondations du pouvoir d’une ville et se débarrassent des gardes afin d'ouvrir les portes pour le reste de leurs frères en toute sécurité, tous prêts pour des carnages à répétition. Malgré leur nature destructrice, leurs prouesses meurtrières restent très prisées et de stupides princes continuent à les inviter dans leurs villes afin qu'ils prennent soin de leurs ennemis inattaquables.
La combinaison de leurs intrigues dans les villes et leurs attaques sur les campagnes et les caravanes commerciales par des sauterelles a eu un effet terrible sur l'Empire Arabien. Bien que leurs effectifs ont augmenté très lentement, ils sont devenus, au cours du dernier millénaire, une force aussi destructrice pour cette terre que les maraudeurs du Chaos le sont pour Kislev. Leur présence a conduit l'empire Arabien jadis glorieux à s'effondrer dans la peur, le désordre et la décadence. Seules les quatre grandes villes côtières ne sont pas touchées par ces démons nuisibles. Le Grand Sultan n'a réalisé que récemment que son royaume tout entier est sur le point d'être détruit, à moins qu'il ne soit déjà condamné. En désespoir de cause, il a envoyé des émissaires en Estalie, en Bretonnie, en Tilée et dans l'Empire quémander de l'aide et des héros pour lutter contre le terrible Mahtmasi. Seul un fou s'y rendrait mais la promesse de l'honneur et la gloire ridiculise bien des hommes.
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