- UndredZombie
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Trois sang d'or
Mer 2 Mar 2016 - 8:58
Trois sang d'or
La morte-vivante, vêtue d'une armure noire et pourpre, dodelinait doucement le long du fleuve de la Drakenwald, sans jamais jeter un coup d'œil aux tourbillons d'écumes et de mouvement. Elle voyait clair au milieu de l'obscurité, l'eau gris-ardoise étaient agités de remous et avaient avalé bien des imprudents... si elle tombait dedans, cela signerait sa perte. Elle effrayait les rares infortunés paysans qui avaient croisé la route de son cheval fait d'os, d'ombre et de tendon. C'était un cauchemar incarné qui, même des années après son trépas, continuait à servir la terrible non-morte. Puis elle avait quitté cette contré, avait franchis par un pont gardé, le Reik, ce grand fleuve, la principale voie fluviale qui desservait l'Empire, et s'était enfoncée plus profondément et plus au sud, jusqu'à rejoindre les terres morcelés et aspergée de sang qu'étaient les régions frontalières.
La morte-vivante n'était pas une stupide goule ou une liche squelettique. C'était une Vampire, une tueuse violente et assoiffée de sang et d'âmes. Elle s'appelait Breiskla et n'était pas née dans l'Empire des hommes, mais plus au nord, bien plus au nord, parmi les tribus d'hommes frustres et barbares qui adoraient les Quatre Dieux. Son Père-dans-la-mort l'avait amené et aimé pour sa sauvagerie au combat et son refus têtu de prendre la place du sexe faible. Comme l'avait dit son vrai père, à être trop têtue, elle avait fini butée. Elle avait traversé les siècles comme une tornade de mort et de carnage, tuant, brisant, mutilant. Les principautés frontalières étaient à la limite de l'Empire des hommes, mais n'étaient qu'un territoire morcelé entre différents seigneurs bandits qui guerroyaient les uns contre les autres pour la suprématie, chose qui n'arrivera jamais.
Alors qu'elle s'approchait du lieu de rendez-vous, sa peau blême et froide la picotait et ce n'était pas que dû à la soif. L'endroit était imprégné de Dhar, de magie noire et même si elle n'était pas douée pour manier les vents impies, comme certains de ses frères nécromanciens, elle pouvait le sentir qui soufflait avec plus de force dans cette région. La magie était responsable des lourds nuages menaçants qui étouffaient l'astre divin et rendait sa morsure supportable, sans pour autant être agréable, même sous une lourde armure noir et pourpre. Elle approcha son cheval d'une butte, où son instinct lui soufflait que la Coterie se réunirait.
Elle avait la main posée sur le pommeau en forme de Wyrm de son épée et était méfiante. Elle poussa son cheval en haut de la butte et regarda au fond d'elle. C'était un beau pays, elle devait se l'avouer. De grandes prairies herbeuses, des villages, des champs, assez peu de forêts, des hardes d'animaux… elle n'eut aucun mal à repérer le pavillon sombre, juché dans un coin isolé et protégé par des enchantements qui éloignaient les indésirables. Elle éperonna son cheval, en notant le silence des lieux, un silence presque irréel, même la légère brise qui l'avait suivie ne soufflait plus.
Deux silhouettes noires encadraient l'ouverture vers les tréfonds de l'endroit. Elle mit pied à terre sans sembler éprouver de crainte et releva la visière de son casque, les regardant de ses yeux qui luisaient d'un éclat pourpre Elle marcha à grands pas vers l'ouverture, sans les saluer. Ils la suivirent du regard, sans manifester le moindre signe d'hostilité.
Ils étaient vêtus de lourdes armures anciennes et fatiguées, leurs mains étreignaient des glaives et des lances qui luisaient faiblement d'énergie malveillante. Leur têtes étaient vêtues de casques noirs, décorés d'ailes de chauve-souris et leurs visages cadavériques étaient protégées par une grille en acier qui ne laissait voir que deux orbites éclairées d'une lueur bleue comme la glace. La Garde sépulcrale protégeait son maître avec le zèle que seule la magie pouvait induire. Pierre Von Carstein avait considérablement renforcé son pouvoir s'il disposait de créatures aussi puissantes pour le défendre. L'intérieur de la tente était plus spacieux et plus sombre qu'il n'aurait dû être.
Une odeur prenante de sang et de désespoir lui prenait à la gorge. Elle sentait ses crocs lui brûler les gencives alors que la soif qu'elle gardait enchaînée au fond d'elle comme une dépendance malveillante se réveilla et l'assaillit toutes griffes dehors, avide de la voir plonger dans la folie bestiale. La voix riche et suave de Pierre lui parvint, chassant la Soif, alors qu'une lueur surnaturelle chassaites ténèbres tout aussi surnaturelles :
« Tu as l'air bien pâle. Même pour les nôtres… »
Pierre apparut. De tous les morts-vivants qu'elle avait rencontré, il était l'un des plus charismatiques qu'elle ait vue. Mise à part quelques rares aînés et autres terrifiants buveurs de sang. Il avait les cheveux sombres des sylvaniens, coupés court, un visage fier et arrogant, presque patricien. Son corps était serré dans une armure lourde et ouvragée, recouverte de symboles macabres. Elle était de la même couleur que ses cheveux et ses yeux verts luisaient d'un éclat narquois. C'était un buveur de sang étreint sous le règne sanguinolent de Konrad le Fou Von Carstein et avait survécu à la débâcle des Landes Lugubres dont le dément était entièrement responsable. C'est d'ailleurs comme cela qu'ils s'étaient rencontrés, lorsqu'ils avaient fui avec les Chevaliers du sang qui avaient fini par être exaspérés par le comportement du fou. Il avait gagné le respect de Breiskla en démontrant un talent à l'escrime et une sauvagerie rafraichissante pour un noble intriguant... Elle pesa le choix de ses mots et croassa d'une voix rauque par le faible nombre d'interlocuteur qu'elle avait eu depuis quelques temps:
« Pierre Von Carstein… pourquoi m'as-tu appelé ? »
Le Von Carstein ne s'offusqua pas du ton direct de la guerrière. Les Dragons du Sang n'avaient pas réputation d'être des créatures sociales et civilisées et elle ne faisait pas exception. Alors qu'il allait répondre, elle embraya :
« Si tu m'as fait déplacer d'une campagne sanglante pour t'entendre parler de tes projets de conquête depuis la Sylvanie, je te jure que je fais un malheur. Et puis, où est Giselle ? Tu t'es lassé de ta goule domestique ? »
La voix craquantes vint des ténèbres, alors que Giselle, un vampire pourrissant, l'âme damné du Von Carstein, sortait des ombres, appuyée sur un bâton d'os luisant d'un pouvoir impie.
« Je suis ici. Écoute ce qu'il a dire, c'est intéressant… »
La dragonne de Sang renifla. La nécraque était une créature cadavérique et pourrissante, comme si on avait étreint un cadavre abandonné au charognard depuis une semaine. Elle était vêtue d'une espèce de Linceul recouvert de rune de pouvoir. C'était une créature répugnante et Breiskla n'arrivait pas à comprendre pourquoi le Von Carstein l'avait pris comme amante-de-sang. Peu importait, au final... sa magie avait permis à la troupe de lutter contre vent et marée, sortant grandie de tous les défis. Elle réfréna la saute d'humeur induite par la soif et relâcha la poignée de son épée.
« Je t'écoute. »
Le noble non-mort inspira et commenca à parler :
« Nous partons en campagne pour conquérir un territoire. Je ne te parle pas de conquête pour abattre l'empire. Nous allons prendre le contrôle d'un royaume frontalier et faire de cet endroit notre domaine… »
Le Von Carstein la regardait, ses yeux luisaient de passion. Breiskla s'était mutilée avec passion pour qu'on oublie son sexe dans sa vie et dans sa non-mort, les stigmates étaient toujours présents. Son nez était percé par trois baguettes en fer, sa lèvre inférieure accueillait un anneau et sa langue un piercing. Ses adversaires prétendaient que sa rousseur flamboyante était fait dans un mélange de henné et de sang, ce qui lui donnait l'air d'un épouvantail et Pierre avait pu constater que c'était effectivement le cas, le sang était le composant principale de sa coloration, d'ailleurs, sa chevelure était devenu un élément atypique de sa présence. C'était une guerrière féroce et sanguinaire.
« Je ne te parle pas de l'Empire, je te parle d'ici, sur cette terre où nous nous tenons, les trois seigneurs se font une guerre sans répit et dilapides or et humains pour s'entretuer. Ils sont affaiblis et nos forces auront l'avantage… »
La dragonne sourit, un sourire féroce, à la limite du sanguin. Si Pierre ne se contrôlait pas aussi bien, il aurait porté la main au pommeau de son arme pour dégainer.
« Qu'est-ce que je gagnerais à t'aider ? »
Le noble Sylvanien soupira intérieurement. C'était gagné. Les négociations étaient une formalité maintenant et l'accord fut conclu autour de trois calices de sang. La coterie nouvellement reformée trinqua et but cul-sec, se gorgeant du sang d'un des paysans du bocage, buvant sa vie comme ils comptaient assécher cette terre.
La morte-vivante n'était pas une stupide goule ou une liche squelettique. C'était une Vampire, une tueuse violente et assoiffée de sang et d'âmes. Elle s'appelait Breiskla et n'était pas née dans l'Empire des hommes, mais plus au nord, bien plus au nord, parmi les tribus d'hommes frustres et barbares qui adoraient les Quatre Dieux. Son Père-dans-la-mort l'avait amené et aimé pour sa sauvagerie au combat et son refus têtu de prendre la place du sexe faible. Comme l'avait dit son vrai père, à être trop têtue, elle avait fini butée. Elle avait traversé les siècles comme une tornade de mort et de carnage, tuant, brisant, mutilant. Les principautés frontalières étaient à la limite de l'Empire des hommes, mais n'étaient qu'un territoire morcelé entre différents seigneurs bandits qui guerroyaient les uns contre les autres pour la suprématie, chose qui n'arrivera jamais.
Alors qu'elle s'approchait du lieu de rendez-vous, sa peau blême et froide la picotait et ce n'était pas que dû à la soif. L'endroit était imprégné de Dhar, de magie noire et même si elle n'était pas douée pour manier les vents impies, comme certains de ses frères nécromanciens, elle pouvait le sentir qui soufflait avec plus de force dans cette région. La magie était responsable des lourds nuages menaçants qui étouffaient l'astre divin et rendait sa morsure supportable, sans pour autant être agréable, même sous une lourde armure noir et pourpre. Elle approcha son cheval d'une butte, où son instinct lui soufflait que la Coterie se réunirait.
Elle avait la main posée sur le pommeau en forme de Wyrm de son épée et était méfiante. Elle poussa son cheval en haut de la butte et regarda au fond d'elle. C'était un beau pays, elle devait se l'avouer. De grandes prairies herbeuses, des villages, des champs, assez peu de forêts, des hardes d'animaux… elle n'eut aucun mal à repérer le pavillon sombre, juché dans un coin isolé et protégé par des enchantements qui éloignaient les indésirables. Elle éperonna son cheval, en notant le silence des lieux, un silence presque irréel, même la légère brise qui l'avait suivie ne soufflait plus.
Deux silhouettes noires encadraient l'ouverture vers les tréfonds de l'endroit. Elle mit pied à terre sans sembler éprouver de crainte et releva la visière de son casque, les regardant de ses yeux qui luisaient d'un éclat pourpre Elle marcha à grands pas vers l'ouverture, sans les saluer. Ils la suivirent du regard, sans manifester le moindre signe d'hostilité.
Ils étaient vêtus de lourdes armures anciennes et fatiguées, leurs mains étreignaient des glaives et des lances qui luisaient faiblement d'énergie malveillante. Leur têtes étaient vêtues de casques noirs, décorés d'ailes de chauve-souris et leurs visages cadavériques étaient protégées par une grille en acier qui ne laissait voir que deux orbites éclairées d'une lueur bleue comme la glace. La Garde sépulcrale protégeait son maître avec le zèle que seule la magie pouvait induire. Pierre Von Carstein avait considérablement renforcé son pouvoir s'il disposait de créatures aussi puissantes pour le défendre. L'intérieur de la tente était plus spacieux et plus sombre qu'il n'aurait dû être.
Une odeur prenante de sang et de désespoir lui prenait à la gorge. Elle sentait ses crocs lui brûler les gencives alors que la soif qu'elle gardait enchaînée au fond d'elle comme une dépendance malveillante se réveilla et l'assaillit toutes griffes dehors, avide de la voir plonger dans la folie bestiale. La voix riche et suave de Pierre lui parvint, chassant la Soif, alors qu'une lueur surnaturelle chassaites ténèbres tout aussi surnaturelles :
« Tu as l'air bien pâle. Même pour les nôtres… »
Pierre apparut. De tous les morts-vivants qu'elle avait rencontré, il était l'un des plus charismatiques qu'elle ait vue. Mise à part quelques rares aînés et autres terrifiants buveurs de sang. Il avait les cheveux sombres des sylvaniens, coupés court, un visage fier et arrogant, presque patricien. Son corps était serré dans une armure lourde et ouvragée, recouverte de symboles macabres. Elle était de la même couleur que ses cheveux et ses yeux verts luisaient d'un éclat narquois. C'était un buveur de sang étreint sous le règne sanguinolent de Konrad le Fou Von Carstein et avait survécu à la débâcle des Landes Lugubres dont le dément était entièrement responsable. C'est d'ailleurs comme cela qu'ils s'étaient rencontrés, lorsqu'ils avaient fui avec les Chevaliers du sang qui avaient fini par être exaspérés par le comportement du fou. Il avait gagné le respect de Breiskla en démontrant un talent à l'escrime et une sauvagerie rafraichissante pour un noble intriguant... Elle pesa le choix de ses mots et croassa d'une voix rauque par le faible nombre d'interlocuteur qu'elle avait eu depuis quelques temps:
« Pierre Von Carstein… pourquoi m'as-tu appelé ? »
Le Von Carstein ne s'offusqua pas du ton direct de la guerrière. Les Dragons du Sang n'avaient pas réputation d'être des créatures sociales et civilisées et elle ne faisait pas exception. Alors qu'il allait répondre, elle embraya :
« Si tu m'as fait déplacer d'une campagne sanglante pour t'entendre parler de tes projets de conquête depuis la Sylvanie, je te jure que je fais un malheur. Et puis, où est Giselle ? Tu t'es lassé de ta goule domestique ? »
La voix craquantes vint des ténèbres, alors que Giselle, un vampire pourrissant, l'âme damné du Von Carstein, sortait des ombres, appuyée sur un bâton d'os luisant d'un pouvoir impie.
« Je suis ici. Écoute ce qu'il a dire, c'est intéressant… »
La dragonne de Sang renifla. La nécraque était une créature cadavérique et pourrissante, comme si on avait étreint un cadavre abandonné au charognard depuis une semaine. Elle était vêtue d'une espèce de Linceul recouvert de rune de pouvoir. C'était une créature répugnante et Breiskla n'arrivait pas à comprendre pourquoi le Von Carstein l'avait pris comme amante-de-sang. Peu importait, au final... sa magie avait permis à la troupe de lutter contre vent et marée, sortant grandie de tous les défis. Elle réfréna la saute d'humeur induite par la soif et relâcha la poignée de son épée.
« Je t'écoute. »
Le noble non-mort inspira et commenca à parler :
« Nous partons en campagne pour conquérir un territoire. Je ne te parle pas de conquête pour abattre l'empire. Nous allons prendre le contrôle d'un royaume frontalier et faire de cet endroit notre domaine… »
Le Von Carstein la regardait, ses yeux luisaient de passion. Breiskla s'était mutilée avec passion pour qu'on oublie son sexe dans sa vie et dans sa non-mort, les stigmates étaient toujours présents. Son nez était percé par trois baguettes en fer, sa lèvre inférieure accueillait un anneau et sa langue un piercing. Ses adversaires prétendaient que sa rousseur flamboyante était fait dans un mélange de henné et de sang, ce qui lui donnait l'air d'un épouvantail et Pierre avait pu constater que c'était effectivement le cas, le sang était le composant principale de sa coloration, d'ailleurs, sa chevelure était devenu un élément atypique de sa présence. C'était une guerrière féroce et sanguinaire.
« Je ne te parle pas de l'Empire, je te parle d'ici, sur cette terre où nous nous tenons, les trois seigneurs se font une guerre sans répit et dilapides or et humains pour s'entretuer. Ils sont affaiblis et nos forces auront l'avantage… »
La dragonne sourit, un sourire féroce, à la limite du sanguin. Si Pierre ne se contrôlait pas aussi bien, il aurait porté la main au pommeau de son arme pour dégainer.
« Qu'est-ce que je gagnerais à t'aider ? »
Le noble Sylvanien soupira intérieurement. C'était gagné. Les négociations étaient une formalité maintenant et l'accord fut conclu autour de trois calices de sang. La coterie nouvellement reformée trinqua et but cul-sec, se gorgeant du sang d'un des paysans du bocage, buvant sa vie comme ils comptaient assécher cette terre.
- EssenSeigneur vampire
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Re: Trois sang d'or
Mer 2 Mar 2016 - 23:46
La mise en situation est efficace. Surtout, le terme "coterie" ajoute un brin d'originalité, je ne l'ai encore jamais vu...
Sur le forme, j'aurai quelques petites fioritures à signaler, mais ce sera sans doute pour plus tard, là la fatigue a raison de moi.
La suite ! Les projets de la coterie vont-ils se réaliser avec splendeur ?
Sur le forme, j'aurai quelques petites fioritures à signaler, mais ce sera sans doute pour plus tard, là la fatigue a raison de moi.
La suite ! Les projets de la coterie vont-ils se réaliser avec splendeur ?
- UndredZombie
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Re: Trois sang d'or
Jeu 3 Mar 2016 - 20:30
Merci, la suite, bientôt. Une fois que la correction aura été effectuée.
- Nyklaus von CarsteinSeigneur vampire
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Re: Trois sang d'or
Jeu 3 Mar 2016 - 22:08
Et bien et bien !
D'abord, bienvenue à toi dans le cercle des écrivains de ce forum
Ton texte introductif est très bien et je ne demande qu'à avoir la suite mais une question me vient en tête : les Nécraques ne détestent pas leurs semblables vampires au point d'etre totalement isolés ?
L'alliance de la Dragonne de Sang avec un Von Carstein ne me dérange pas mais une Nécraque...
Plus compliqué...
Après, sache que je ne dis pas ça pour te brider dans ton imagination et désolé si c'est le cas.
J'espère jusque tu y as pensé pour la suite et si c'est le cas, je suis plus que pressé d'avoir une explication !
Merci beaucoup !
D'abord, bienvenue à toi dans le cercle des écrivains de ce forum
Ton texte introductif est très bien et je ne demande qu'à avoir la suite mais une question me vient en tête : les Nécraques ne détestent pas leurs semblables vampires au point d'etre totalement isolés ?
L'alliance de la Dragonne de Sang avec un Von Carstein ne me dérange pas mais une Nécraque...
Plus compliqué...
Après, sache que je ne dis pas ça pour te brider dans ton imagination et désolé si c'est le cas.
J'espère jusque tu y as pensé pour la suite et si c'est le cas, je suis plus que pressé d'avoir une explication !
Merci beaucoup !
_________________
Mon histoire...Histoire de Nyklaus
Mes dessins (avec les fiches de monstres dont vous pouvez vous inspirer dans vos récits) : Dessins de Nyklaus
- UndredZombie
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Re: Trois sang d'or
Jeu 3 Mar 2016 - 23:27
Tout juste, chère Nyklaus, tout juste. Pourquoi un nécraque accepterait une alliance avec ces imbéciles de cousin ? Il y a probablement cachalot sous gravier.
- ArkenMaîtresse des fouets
- Age : 29
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Vainqueur d'évènement :
Palmares : Championne de la Reiksguard, Comtesse de la Crypte 2019
Re: Trois sang d'or
Sam 5 Mar 2016 - 23:05
Comme chaque texte, il faut une introduction, une mise en ambiance. Ce qui est chose faite. J'attends juste la suite pour voir la partie la plus intéressante de l'histoire !
Nyklaus : les nécrarques sont des vampires comme les autres, c'est-à-dire solitaires. Ils sont exaspérés par les autres lignées qui ne comprennent rien à leur science et à leur magie, et ils restent loin d'eux pour avoir la paix et faire leurs expériences tranquillement. Certes, comme tout vampire, ils n'apprécient pas vraiment leurs confrères. Mais ce n'est pas une haine viscérale au point de refuser tout contact ou toute collaboration quand cela est nécessaire à leur plan. Donc moi cela ne me choque pas de voir une nécrarque alliée aux Von Carstein. Elle doit avoir ses raisons, et j'espère les connaître bientôt.
Undred : en fait, il me semble que tes fautes sont essentiellement des fautes d'accord. Relis-toi en faisant attention aux sujets, aux verbes, aux adjectifs et à leur relation entre eux, et je suis sûre que tu pourras éradiquer toutes les coquilles présentes (si tu as besoin d'un lecteur/correcteur, je peux te proposer mon aide).
Un nouvel auteur, une nouvelle histoire, je veux savoir la suite !
Nyklaus : les nécrarques sont des vampires comme les autres, c'est-à-dire solitaires. Ils sont exaspérés par les autres lignées qui ne comprennent rien à leur science et à leur magie, et ils restent loin d'eux pour avoir la paix et faire leurs expériences tranquillement. Certes, comme tout vampire, ils n'apprécient pas vraiment leurs confrères. Mais ce n'est pas une haine viscérale au point de refuser tout contact ou toute collaboration quand cela est nécessaire à leur plan. Donc moi cela ne me choque pas de voir une nécrarque alliée aux Von Carstein. Elle doit avoir ses raisons, et j'espère les connaître bientôt.
Undred : en fait, il me semble que tes fautes sont essentiellement des fautes d'accord. Relis-toi en faisant attention aux sujets, aux verbes, aux adjectifs et à leur relation entre eux, et je suis sûre que tu pourras éradiquer toutes les coquilles présentes (si tu as besoin d'un lecteur/correcteur, je peux te proposer mon aide).
Un nouvel auteur, une nouvelle histoire, je veux savoir la suite !
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Ceux qui ne croient pas en la magie ne la trouveront jamais.
- UndredZombie
- Age : 30
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Date d'inscription : 29/02/2016
Re: Trois sang d'or
Dim 6 Mar 2016 - 19:33
*S'incline, flatté.*
Merci, la suite arrive bientôt, une fois que le relecteur aura entamé son travail.
Edition du 21/03/2016 :
Le projet n'est pas mort. Je n'ai juste plus de relecteur attitré. Le coup classique du relecteur qui est trop occupé pour filer un coup de patte.
Merci, la suite arrive bientôt, une fois que le relecteur aura entamé son travail.
Edition du 21/03/2016 :
Le projet n'est pas mort. Je n'ai juste plus de relecteur attitré. Le coup classique du relecteur qui est trop occupé pour filer un coup de patte.
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