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Melkior

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Zombie
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Histoires de l'Empire. Empty Histoires de l'Empire.

Lun 29 Mar 2010 - 21:38
Introduction :


Nous vivons un âge troublé, une époque sanglante aux accents de fin du monde, faite de Démons et de sorcellerie, de batailles, et de mort.
Dans la fureur des flammes et de la destruction se forgent les légendes de ce temps, narrant les faits d’armes de héros intrépides.
L’époque n’est pas pour autant civilisée.
De toutes les régions du vieux monde, des palais féodaux de la Bretonnie comme des immensités glacées de Kislev perdues dans le Nord lointain, nous parviennent les présages de la guerre.
Les tribus orques des montagnes du bord du monde s’unissent en préparation de nouvelles attaques.
Bandits et scélérats harcèlent les habitants des principautés frontalière.
Des rumeurs prétendent même que des hommes-rats, les Skavens, émergent des sous-sols aux quatre coins des terres connues.
Et des désolations nordiques descend une fois de plus la menace du chaos, des Démons et des hommes-bêtes corrompus par la puissance des Dieux sombres.
Tandis qu’approche l’heure des combats, l’Empire a besoin d’hommes courageux comme jamais auparavant.
Les conflits sont monnaie courante entre les puissantes armées du continent.
La terre elle-même semble engendrer le désaccord et le mécontentement, les intrigues et la corruption.
La vie y est courte et brutale.
Le danger rôde dans l'obscurité des forêts et dans la puanteur des villes.
Les orques, les hommes-bêtes, les hommes-rats et d'autres créatures impies règnent sur les contrées sauvages et s'attaquent aux faibles et aux imprudents.
Mais les souffrances des mortels ne restent pas ignorées.
Des yeux antédiluviens observent sans relâche ce spectacle de la vie et de la mort !
Les Sombres Puissances cherchent à étouffer la flamme de l'existence pour revendiquer la terre et y établir leur royaume du Chaos.
Beaucoup se tournent vers ces Dieux Sombres et des églises hérétiques promettent pouvoir, plaisir et richesse à ceux qui s'abandonneront à l'interdit .








Cycle 1 :
Chapitre I
L’attaque du campement.

La préparation d’une bataille.
La brume posait ses longs doigts de mort sur le campement des soldats de l’empire, le soleil était couché depuis plus de deux heures, les deux lunes étaient pleines et brillaient d’une lueur à peine cachée par les nuages.
Waldemar venait de commencer le rituel pour relever les morts de leurs tombes.
Des hurlements de loups se firent entendre des bois, ils arrivaient de tous côtés de la forêt, des cadavres d’hommes et d’animaux, mais les cris ne furent heureusement pas assez fort pour que les soldats se doutent de l’attaque.
Son escorte de Vampires le regardait faire le rituel.
Son livre à la main qui dégageait une magie noire, sous forme de flamme, sa main en l’aire tenant un bâton orné de symbole qui brillé avec un crâne humain attaché au bout.
Waldemar plantait le bâton dans la terre et d’autre mort se relevèrent.
Il devait y avoir pas moins d’une centaine de squelette et de zombies, tout cela lui avait pris de la puissance et il devait se revigorer.
Tout en rangeant calmement son bâton dans le dos et son grimoire dans sa sacoche il s’approcha de l’un des vampires, ils étaient quatre, des nouveau-nés, il en pris un par le cou et le mordit, le vampire essaya de se débattre mais ne pouvait rien, il était trop faible pour le maîtriser, les autres n’osèrent bouger.
Le sang coulé dans sa gorge, il était tiède, doux, et surtout bon a ses lèvres sèches.
Il finit par le lâcher, il était mort pour de bon Waldemar sentait de nouveau sa puissance.
L’un des vampires s’approcha et lui dit « Maître, puis-je vous demander pourquoi vous avez fait cela ? »
Il ne fut surpris par sa question, ils venaient juste de recevoir le baiser de sang et n’avaient pas l’habitude d’être en insuffisance, ils étaient faibles et lâches, leurs caractère humain resurgissait par moment.
Waldemar lui répondit « Il était faible et j’avais besoin de sang »
Il n’avait pas à répondre à ce genre de question, s’il avait déjà eu besoin de sang il aurait compris, mais ce n’était pas le cas et il lui répondit, « Ce n’est pas clair, je n’ai pas peur de vous si c’est ce que vous croyez alors répondez ! »
Il sortit son épée, et la pointa dans la direction deWaldemar, il commençait à hurler et à jurer.
Puis il essaya de lui porter un coup d’estoc en le chargeant, d’un seul geste de la main droite Il le pris par le coup et de la main gauche le désarma, sa main droite serra fort et son cou éclata, il ne put rien faire et mourut sur le coup.
L’armure de Waldemar était teintée de sang, il était encore chaud, il jetait le cadavre dans le rang des goules qui venaient d’arriver puis commença à partir vers le campement, les deux autres vampires ne protestèrent point, du moins ils n’osèrent pas.
Il avait assez perdu de temps ainsi, il fallait maintenant attaquer.
Les soldats de l’empire ne voyaient rien, la brume s’était transformée en brouillard, c’était le moment idéal pour lancer une attaque.
Waldemar montait sur son cauchemard et partit devant la horde de morts-vivants, il faisait lourd, le ciel était couvert et ils ne discernaient seulement plus que la lueur des deux lunes.
Leur campement ne contenait pas de porte mais des barricades, il était nouveau et il pouvait discerner la porte en construction à terre.
Il y avait deux tours de guet ou ce trouvé un homme dans chacunes.
Waldemar arrêta sa monture et fis charger les goules, elles arrivèrent devant les tentes, les soldats qui faisaient les guets alertèrent tout le campement en hurlant et tirant avec leurs arquebuses, puis ils se firent dévorer et déchiqueter par les nombreuses goules qui avaient réussi à monter.
Maintenant les squelettes et les zombies avançaient vers le campement.
C’était à son tours et celui des deux autres vampires de charger l’ennemi.
Son cauchemard partit au galop vers le campement, les deux Vampires le suivaient, prenant leurs lances et les pointant vers l’avant.
La lame de Waldemar vint se planter dans la tête d’un soldat, il mourut sur le coup et fut emporté dans le galop.
Il dut mettre son pied contre la tête du soldat et pousser pour l’enlever, et, dès qu’il en eu finis un arquebusier tira dans son cauchemard et lui arracha sa patte antérieure droite squelettique.
Waldemar réussi à ne pas tomber en faisant un saut en avant puis vint atterrir devant le régiment d’arquebusiers ; Ils sortirent leurs épées mais n’eurent le temps d’en faire usage.
Sa lame vint ce planter dans le premier en lui arrachant la mâchoire inférieure et les quatre autres de simples coups dans le ventre leur suffirent, ils ne virent rien venir, la rapidité de Waldemar était ahurissante.
Les zombies se faisaient massacrer, il devait y en avoir une cinquantaine en moins, un des Vampires se battait contre le prêtre de Sigmar dans une des tours, celui-ci était le chef de ce camp, il commençait à fatiguer et finit par mourir d’un grand coup de marteau dans la tête qui lui arracha la moitié du visage puis vint s’empaler dans un pieu de la barricade, son visage était défiguré et saigné à ne plus s ‘en arrêter.
Le prêtre vint ensuite vers Waldemar en courant et commença à prononcer les paroles de Sigmar, des flammes sortirent de ses yeux, son marteau brillait, finalement il chargea, le Vampire eu le temps de lancer un sort qui fut absorbé par son marteau et à présent il était trop près pour qu’il en lance un deuxième alors il commençait aussi à charger vers lui.
Son marteau vint heurter la lame de Waldemar, des étincelles jaillirent, la puissance des deux coup les stoppa net, Ils étaient face à face, le Vampire déséquilibré par la puissance du coup prit son épée à deux mains et frappa à la verticale, le Prêtre para mais pas à temps et une ouverture se mit à couler sur son front, elle lui aveugla un œil, ce qui lui fit un angle mort.
Il commençait à s’énerver et frappa dans l’épaule gauche de Waldemar, il tomba à terre et, ne pouvant que se défendre, reculé.
Il arriva devant le Vampire et frappa sans relâche, il finit par faire voler sa lame quelques mètres plus loin ; le coup final allé être porté mais Waldemar réussit à se concentrer assez longtemps pour lancer un sort qu’il ne put absorber cette fois avec son marteau.
Le sort le toucha.
Le prêtre lâcha son marteau, des rides apparaissent sur son visage, il perdit toutes ses forces, la vieillesse le gagnée à un rythme allarmant puis il mourut en s’en allant, poussières dans le vent.
Waldemar se releva, avec beaucoup de difficultés, alla chercher son épée puis commença de nouveau une incantation pour invoquer des morts à partir des cadavres, quand, un arquebusier lui tira dans le ventre.
Sans s’en préoccuper il continua son incantation et finit par réussirent à relever les morts.
Waldemar perdait beaucoup de sang mais le dernier vampire arriva et commença à le porter, il se pencha vers lui, sa gorge était juste devant, Waldemar ne put se retenir et planta ses crocs dedans, il le lâcha et tomba avec lui, Le vampire s'agrippait à lui, il sortit sa dague pour la planter mais Waldemar réussit à parer et continua de boire.
Son sang chaud coulait dans sa bouche le ravivant en un instant il finit même par le tuer. Avec les forces qui lui revenait, Waldemar put retirer le plomb et à présent ils pouvaient vaincre l’ennemi.
Il devait rester une vingtaine de soldats de l’empire, ils étaient tous dans un coin du camp, démoralisés, horrifiés, terrorisés.
Les goules les chargèrent mais les sept arquebusiers qui restés réussirent à toutes les tuer, ils en tuèrent seize puis durent recharger mais les loups les dévorèrent tous.
Il leur restait à présent douze épéistes et il restait à Waldemar six loups et cinq squelettes, la bataille était gagner parce qu’il était là.
Il les fit charger contre ce qui resté et contempla le massacre, les épéistes ne perdurent que trois des leurs.
C’était à présent à lui d’y aller, il lançait le regard de Nagash sur eux et en tua deux.
Ils chargèrent tous en sa direction et Waldemar dut répondre à cette charge, sa lame vint se planter dans le premier, deux autres derrière lui le frappèrent, l’un lui coupant le bras et l’autre planta son épée dans son ventre.
Waldemar s’écroula à terre, à genoux, face à eux, ils étaient six à le regarder fixement, la mort de leurs camarades allait être vengée.
Un d’eux s’approcha et pris son épée à deux main, il la pointa sur le cœur de Waldemar, prit son élan et l’enfonça dans sa chair, il l’enfonça profondément jusqu'à ce qu’elle le transpercent.
Un deuxième vint lui couper la tête, puis, il s’en allèrent vers le camp le plus proche chercher de l’aide.
La tête de Waldemar était tombée à environ un mètre de son corps, elle était pleine de sang et de la poussière y était collées.
« On ne tue pas un Vampire comme moi ainsi » se dit-il.
Sa langue léchait le sang mélangé a la poussière, il n’était pas mort mais pas non plus vivant.
Entre le royaume de Morr et le campement dévasté, ses yeux se fermèrent et ne se rouvrires que bien plus tard.
Waldemar était dans un sommeil profond, ne pouvant se réveiller, il était perdu dans le monde des morts sans vraiment en faire partie.
Morr n’était pas près à avoir l’âme du Vampire parmi son royaume et lui n’était pas près à y aller.
Le froid, il sentait le froid l’envelopper, dans sa grande main, il ne le lâchait pas, tout au contraire il le serrait fort.
Waldemar ne pouvait lutter, la mort le prit finalement, mais pour combien de temps ?







Chapitre II
Le royaume de Morr.


Ses yeux s’ouvrir enfin.
Waldemar ne vit pas sa tête par terre accotée de son corps, mais sentit qu’il était intact.
Le Vampire était dans un monde empli de ténèbres, des âmes en peine de tout cotés, la fumer qui s’élevée du champs de bataille, l’odeur de sang, de sang chaud.
A terre des cadavres, des cadavres de partout.
Qu’était-ce que cet endroit ?
« Non, pas déjà, pas déjà le royaume de Morr » se dit-il.
« Pourquoi maintenant ? »
« Je ne veux pas, pour combien de temps vais-je rester là ? »
Il voyait les soldats qu’il venait de tuer.
« Je ne veux pas croire pas en la mort alors pourquoi ? Et surtout pourquoi maintenant ? »
Waldemar se trouvait au sommet d’une colline parsemée de cadavres, elle surplombait toute la plaine qui se trouvée face à lui, elle semblait représenter un champ de bataille après le massacre.
Le Vampire décida d’avancer, ses pas étaient si légers qu’il avait l’impression de prendre son envol a chaque mouvement.
Il faisait claire comme le jour mais il ne pouvait discerner le soleil, ils ne laissaient passer aucun rayon, ils étaient rouges, rouges sang.
Toutes les plaines étaient grises cendrées et remplis de cadavres, d’armes, d’appareils de guerre.
« Une folie de plus » se dit-il, « cet endroit ne peut exister. »
Maintenant qu’il y repensait, il n’était pas en position de combattre tous ces épéistes avec ses blessures.
La lumière du jour ne lui faisait rien, pourquoi ?
Il remarqua aussi qu’il ne portait plus son armure mais un haillon noir, son bâton, son livre, tout avait disparu.
Des corbeaux tournoyaient autours de toutes les âmes en peines, il y en avait aussi un au-dessus de Waldemar.
Le Vampire était un ennemi de Morr et pourtant il l’avait accepté dans son royaume, ce ne pouvait pas être possible.
Et pourtant.
Au bas de la colline se trouver un amas de rochers qui cachait une porte menant à une caverne.
Waldemar s’y hâta puis arrivé devant, il l’ouvrit.
Ce tenait devant lui le corbeau, il était sur une épée, puis s’envola.
Le Vampire s’empara de l’épée et continua d’avancer, la grotte était humide, des gouttes d’eau s’écoulaient des parois.
Des squelettes recouvraient le sol.
Le chemin étroit descendait, il finit par atteindre un long couloir qui serpentait, au bout de celui-ci se trouvé une porte, une porte tout en bronze orné de runes magiques, elle était fermée.
Le corbeau était là aussi sur un crâne, il suivait le Vampire depuis le début et il avait l’impression qu’il lui montrait le chemin.
La serrure était taillée de tel sorte qu’il put rentrer l’épée parfaitement jusqu'à la garde, il fallut ensuite qu’il la tourne vers la droite et la porte s’ouvrit dans un grincement aiguë et désagréable.
Les runes se brisèrent aussitôt, la porte était grande ouverte et de l’autre côté il y avait le néant, rien, de la brume et pas de sol.
Le corbeau s’envola par la porte et c’est alors qu’une douleur lui vint dans le dos de Waldemar et deux os sortirent, ils étaient taillés en pointes et des poiles noirs vinrent ce développer à une vitesse incroyable et bientôt le Vampire avait des ailes de chauve-sourie.
Une fois tout ça terminé il reprit son souffle et s’envola par la porte, il savait voler.
A présent il errait dans le néant, le Vampire finit par voir le corbeau et le rattraper.
Quand il arriva à lui, il fonça en piquer sur Waldemar et se planta dans son cœur, le choc fut si violent qu’il perdit l’équilibre et tomba, ses yeux se fermèrent de nouveau.
« Encore ? »
« Je meurs encore, pourquoi ? »
« Suis-je si faible que ça ? »
« Mes yeux, je ne peux plus les ouvrir, je ne sans même plus l’air toucher mes ailes pendant que je tombe. »
« Je n’ai plus mes ailes. »
« Je ne comprend rien de cet endroit, il ne peut exister. »
« S’à y est je peux ouvrir enfin mes yeux. »
« C’est mon corps que je voix là, je suis enfin revenu c’est bon. »
« Quelqu’un me parle, ou est il ? »
« Non ! Mes yeux se referment, non ! »


Voila un début de ce que j'écris, l'introduction n'est pas de moi ^^'
Dites moi ce que vous en pensez pour savoir si je mes la suite ou pas.
Merci, les critiques sont les bienvenues!
zedel

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Goules
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Mar 30 Mar 2010 - 18:59
Moi j'aime vraiment bien Clap
juste une question et une remarque :
_Le sort qui fait vieillir le prêtre c'est vieillissement ?
-Le regard de Nahash n'est pas censée tuer (de mémoire) 1seule personne

Mais ce ne sont que de petits détailles
A part cela c'est super Cool
Melkior

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Mar 30 Mar 2010 - 20:28
zedel a écrit:
_Le sort qui fait vieillir le prêtre c'est vieillissement ?

Euuh oui c'est celui-la
zedel a écrit:
-Le regard de Nahash n'est pas censée tuer (de mémoire) 1seule personne

Ah ouais j'ai pas fait attention, merci de me le dire.
Et merci d'avoir lu Smile
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Invité

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Mar 30 Mar 2010 - 21:49
Très sympa, vraiment très sympa.

Je me réjouis de la suite! Smile
Melkior

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Mar 30 Mar 2010 - 21:56
Merci beaucoup, je vais alors sans plus tarder corriger et mettre la suite.
Melkior

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Dim 2 Mai 2010 - 16:38
Chapitre III
La résurrection.



ses yeux se réouvrirent, le Vampire était allongé sur une table d’opération en métal, elle était dans un sous-sol puisqu’il voyait des escaliers remonter, des outils de chirurgie étaient posés à sa droite sur un établie.
La pièce était sombre, même étant petite, une torche ne suffisait pas à bien l’éclairer.
Le bras et la tête de Waldemar n’étaient plus détachés de son corps, de la magie l’avait soigné.
Puis il vit une silhouette, portant un chapeau très long et abîmé, une toge faîte en peau humaine qui emplissait la pièce d’un odeur nauséabonde et pour finir un bâton portant le symbole d’une chauve-souris au bout.
Son aura de magie était beaucoup plus puissante que celle du Vampire, il reconnu aussitôt que c’était un nécromancien.
Waldemar arrivait enfin à se lever, et il distingua instantanément Heinrich Kemmler le Lichemeister.
Celui-ci lui montra d’un geste ou se trouvait son équipement et lui dit « Tu te surestime, en attaquant ce camp, tu te croyais assez fort pour le détruire ?! »
Son apparence était écrasante, le Vampire se sentait comme entre l’enclume et le marteau, il était le fer chauffé à blanc, aucun mots ne désiraient sortir de sa bouche, pour la première fois de sa vie il ressentit de la peur..
L’atmosphère pesait tellement que le Vampire vint s’écrouler au sol.
Le Lichemeister fit un signe et une créature sortit de l’ombre, elle était imposante, il le reconnut, Krell le seigneur des revenants, cet ancien guerrier du chaos ressusciter pour le servir.
Une heure plus tard après avoir remit sur pieds le Vampire en lui faisant boire du sang humain frais, Heinrich lui apposa une question : « Comment était-ce ? »
« De quoi ? » Lui répondit-il d’un air désemparé.
Il sourit et re-prononça : « Le royaume de Morr bien sur. »
« Je… Je ne sais plus » Une envie de fuir empara le Waldemar, il ne voulait pas demeurer-la.
La torche venait presque à s'étouffer alors il dit au Vampire d’aller à l’étage et d’en prendre une nouvelle qui se trouvait à la cime des escaliers.
Il prit au passage ses affaires, puis étant en haut, le Vampire vit la porte d’entrée entrouverte.
S’approchant ainsi de celle-ci il la tira et put distinguer une nuit étoilée, des feuilles mortes vinrent rejetées par le vent, puis cessèrent de mouvoir.
Waldemar ne voulait certainement pas retourner en bas et partit.
Le vent était puissant, il soufflait sans jamais s’arrêter, s’engouffrant dans la forêt qui l’entourait, le Vampire regardait le manoir s’éloigner.
Le Lichemeister ne se montrait pas au seuil de sa porte.
Waldemar ne savait pas ou il se trouvait, sans doute en sylvanie, il ne l’aurait tout de même pas fait sortir de cette contrée.
Une voix de femme se fit entendre, elle appelait, d’une voie douce et accablée, il finit par voir une silhouette de dos, une femme qui ne cessait de chanter des litanies dans un langage inconnu au Vampire.
Waldemar se trouvait à présent derrière elle, sa main droite vint se poser sur son épaule, elle arrêta de chanter, puis, se retourna brusquement et, voulut le frapper de sa dague.
C‘était une femme qui charmée les hommes pour ensuite les tuer et les dépouiller.
Hélas, ce soir elle n’était pas tombait sur un de ces misérables humains.
Elle était à moitié dénudée, un de ses seins était dévoiler, sans doute pour les séduire, mais cette fois elle comptait se hâter et tuer sans tarder.
Le Vampire prit sa main tenant la dague et la cassa, un os ressorti par le poignet accompagné d’un petit jet de sang.
Elle se mit à hurler.
« Désolé ma Belle, tu n’es pas tombait sur la bonne personne ce soir »
Puis, après ces paroles, il prit son bâton et frappa sans relâche sa tête, après quelques coups puissant, son cerveau était décomposé sur le sol, mélangé à son sang, elle était défigurée, un œil était sortit de son orbite et pendait, l’os de son nez ressortait par le front.
Le Vampire continuait de frapper son corps inanimé puis s’arrêta, repris son souffle et recommença jusqu'à ce que tous les os de son corps soit réduits en morceaux.
Après s’être frénétiquement défoulait sans logiques sur cette femme, Waldemar reprit son chemin avant le levé du jour.
Plus tard dans la nuit, après avoir marché pendant au moins une heure il put distinguer des panneaux à un croisement qui indiqué Averheim.
« Bien » se dit-il, il était non loin de sa demeure, mais sentait le soleil qui allé se lever.
Le Vampire prit la direction du chemin, puis le longea par la forêt pour ne pas rencontrer de patrouille de l’Empire.
Waldemar distinguai une grotte où il partit aussitôt pour ne pas continuer alors que le soleil se levait.
Beaucoup plus tard, alors que le soleil était couché, il reprit la route.
Arrivant devant sa demeure, il vit un cheval devant et un volet ouvert.
se rapprochant pas à pas, il finit par arriver devant le volet, et entra.

Voila la suite, les critiques sont toujours les bienvenus, merci d'avoir lu.
Melkior

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Lun 24 Mai 2010 - 0:12
Chapitre IV
Mutation.



Apres avoir finit cette affaire de viols et meurtres répétés par un vampire à Averheim, Dieter, répurgateur au service de l’empereur devais être muté en sylvanie pour tuer un vampire qui avait dévaster un camp de l’empire, et avait était laisser pour mort par des épéistes.
Un messager les avait retrouvé, pendus à un grand arbre mort les tripes s’écoulant sur le sol et les corps couvert de plaies laissées par les corbeaux.
Le répurgateur devait partir à sa recherche avant qu’il ne refasse un tel massacre.
Tandis qu’il réfléchissait à par ou commencer, la serveuse vint lui porter un pichet de bière.
Toutes les personnes de l’auberge le scrutaient, les ivrognes, les serveuses, l’aubergiste et même le chien, à croire qu’il fallait vraiment que Dieter ressente qu’il était observait.
il finit son pichet, laissa un sous de cuivre, mis son chapeau de cuir et partit.
Dehors il pleuvait à ne plus s’arrêter, les pavés étaient glissants, la nuit était posée depuis plusieurs heures, il ne faisait pas bon de sortir, le répurgateur présumait que dans chaque petites ruelles plus étroites et plus sombres que jamais devaient attendre un coupe-jarret près à tuer pour s’offrir une nuit à l’auberge.
Son cheval était dans l’écurie, il se posait des questions, « non.. ; non je ne vais pas sortir par ce temps pour traverser toute une région et me retrouver nez à nez avec des morts ».
Le brouillard se levait, et la pluie s’intensifiait.
Dieter fit demi-tour et retourna dans l’auberge, de nouveau ils le regardèrent.
L’aubergiste lui fit : « Alors qu’est ce que tu veux ? »
Le ton qu’il entreprit fut fort désagréable et vexa le répurgateur.
Mais il garda son calme et repartit sous la pluie chercher son cheval dans l’écurie.
Finalement, il y dormit.
La paille rentrait dans ses bottes et tout ses vêtements, rendant le sommeil plus dur mais au moins Dieter n’était pas sous la pluie et en pensant à toutes ces choses ses yeux finirent par se fermer.
il fut réveillé brusquement par les hennissements des chevaux qui avaient faim, lui-même affamé il descendit du tas de paille et leurs en lança pour qu’ils mangent.
Le répurgateur prit de sa sacoche de quoi manger, monta en selle et partit, il pleuvoter seulement mais le sol était trempé et les caniveaux débordés.
Dieter finit par quitter la ville, plus de brouillard, juste une fine pluie qui mouillait son visage sale.
Il devait être tard quand il quitta la région, puisqu’il voyait seulement un rayon rouge lumineux du soleil qui se coucher et les deux lunes qui montées, c’était la nuit des mystères.
Il finit par arriver vers une petite maison qui se tenait au milieu de la forêt.
Il se dit que, peut être, le vampire habitait ici alors le répurgateur continua jusqu'à arriver devant la maison.
La porte était épaisse et le verrou immense, Dieter passa alors par une fenêtre.
Les volets étaient fermés et il distinguait aucune lumière à travers les fentes.
Il ouvrit les volets, rien à l’intérieur, puis, il cassa un carreau de fenêtre et ouvrit en passant sa main à l’intérieur.
Le répurgateur sortit son pistolet à poudre, et entra.
Une torche était contre un mur, éteinte, il la prit mais, le bois était tellement pourri qu’elle tomba en poussière dans sa main.
Dieter avançait prudemment de pièce en pièce, cette endroit sentait le renfermer et l’humidité y était forte, ne voyant quasiment rien, le Répurgateur finit par se dire qu’il n’y avait rien et revenu sur ses pas.
Arrivait devant la fenêtre qu’il venait d’ouvrir, un craquement se fit entendre venant de sa droite, il pivota rapidement et pointa le pistolet.
Une personne se tenait dans la pénombre, elle avait la tête baissée, ses cheveux étaient rasés à plusieurs endroits de la tête.
Ses vêtements était en lambeaux, il ne tenait pas droit et répété sans cesse les même mots, qui au début pour Dieter était incompréhensible.
Il était maigre, et portait de nombreuses cicatrices tout le long du corps, Arrivant enfin à comprendre ce qu’il disait, il comprit « manger, manger, manger » et celui-ci ne cessait point.
Il leva la tête et scruta le Répuragateur, ses yeux étaient grands ouverts, il avait un sourire qui dévoilé ses dents cassées, arrachées et jaune.
De la bave coulait.
C’est alors qu’il commença à avancer vers Dieter d’un pas lent et maladroit, mais il était décidait à le tuer.
Son doigt pressa la gâchette, et le plomb partit.
La créature le prit en plein front et sa tête éclata, peignant les murs en rouges, des morceaux de cervelles accompagnés cette couleur sinistre posait sur les murs.
« Qui était cet individu ? »
« Un aliéné ? »
Mais ces marques sur son corps, il devait y avoir quelque chose dans la pièce ou il était pensa Dieter.
En pénétrant dans la pièce, il vit au fond, une table d’opération.
Dessus était posé tout le matériel d’un chirurgien.
Ça empestait, l’odeur de sang, des animaux morts étaient étendus dans toutes la pièce, déchiquetés.
Le Répurgateur se rendit compte que le soleil était couché, alors il commença à faire demi-tour, quand, il entendit un craquement sur le plancher près de la fenêtre d’où il venait.
Mon pistolet était chargé d’encore deux plombs, l’eau bénite était dans le fond de la sacoche, et mon pieux était accroché à la selle de mon cheval.
Son cœur se mit à battre la chamade, il sentait ses mains tremblées, l’idée de rencontrer un Vampire tel que celui-la l’effraya.
Sa main droite pointait le pistolet en avant tandis que celle de gauche descendit le long de sa jambe pour aller chercher dans la sacoche l’eau bénite.
Dieter sortit le flacon, le déboucha avec les dents et commença à s’avancer pour sortir de la pièce.
Une fois au bout, des nausées vinrent se mêler à sa peur, des vertiges, puis, il se ressaisi, serra fort son pistolet pour tenter d’arrêter de faire trembler sa main et sortit.
Regardant à droite puis gauche d’un regard apeuré, il ne vit rien sur le moment, puis, une ombre passa sur sa gauche à une vitesse affolante, son premier réflexe fut de tirer mais l’ombre avait déjà disparut pour apparaître derrière le Répurgateur.
Une main griffue se planta dans son dos d’une profondeur d’un pousse, un long cri d’agonie et de frayeur résonna dans la maison, la créature le jeta contre le mur en face en lui offrant un sourire carnassier.
Se relevant tant bien que mal, Dieter pivota rapidement, pointant le pistolet sur la poitrine de la créature, le coup partit et la créature lâcha à son tour un cri, assourdissant le Répurgateur, puis, la elle disparue de nouveau dans l’ombre ne laissant qu’une traîner de sang.
Dieter courut vers la sortie sauta par la fenêtre et, pendant le moment ou il fit en l’air, la bête lui attrapa le pied, il se débattit frénétiquement jusqu’à placer sa botte dans la tête de celle-ci et sentir les os de sa mâchoire craquer violemment, il lâcha le Répurgateur, et celui-ci vint s’écraser face contre sol sur la terre humide et mouillée.
L’étreinte de la créature était encore douloureuse mais il se relevai tant bien que mal et parti vers son cheval.
Il vint tirer l’épée accrochée à sa selle, l’enduit d’eau bénite et se retourna.
Un puissant coup de bâton heurta la tête de Dieter le faisant perdre ses sens pendant quelques secondes la créature profita de cette chance pour venir lui planter sa dague dans le ventre.
Le Répurgateur tomba à genoux, il avait du mal à respirer et sa vue était flou, mais, il n’avait plus aucun doute à présent, c’était belle et bien le Vampire.
La silhouette en face de loi levait son bras droit pour faire usage de sorcellerie, mais, l’épée de Dieter partie rapide comme l’éclair lui couper le bras, il n’eu de peine grâce à l’eau bénite et se releva tandis que le Vampire titubait en criant.
Soudain, il reprit son calme et un sourire sadique se posa sur ses lèvres, il se mit à harceler de coups de dague le Répurgateur, les déviant maladroitement celui-ci fléchi puis roula sur le sol pour se retrouver derrière la créature, tout en se relevant il sentit une bise glaciale s’élever.
Et le Vampire lui dit : « la sens tu ? la caresse de Morr sur ta nuque ? »
Dieter rugit de haine et vint porter un coup précis dans sa gorge, le vampire l’évita de justesse et vint planter sa dague dans son abdomen, puis il recula et tout en lançant sa tête en arrière, rit, d’une simple esquive, il venait de le battre.
Du moins c’est ce qu’il pensait, personne n’aurait put se relevait après un tel coup, mais, la volonté du Répurgateur surpassa la douleur et il réussi à retirer la dague puis la jeta en arrière.
Le vampire se jeta sur son bâton mais trop tard, la lame était déjà dans son cœur.
Le vampire s’affala en avant et à genoux, il poussa un regard sombre en sa direction, qui fit monter une telle tension que Dieter sentit un long frisson lui traverser le corps.
L’eau bénite qui lui avait atteint le cœur le maintenait au sol tandis qu’il commençait à criait sans cesse.
Il lui fallait plus encore pour le tuer, le Répurgateur partit alors vers son cheval en titubant, sortit un pieu qu’il enduit d’eau bénite, puis je prit un marteau et s’approcha du vampire.
Il lui projeta son marteau dans sa face crispé et il ne bougea plus, tout en l’étendant sur le dos, il commençait à réciter les paroles de Sigmar.
Dieter vint se mettre à coté de la créature, retira son épée et, pointant le pieu vers le cœur, frappa à grands coups de marteau.
Il entendit se briser les os, se déchirer les muscles, et finit par atteindre le cœur, des gerbes de sang vinrent violemment rencontrer son visage, puis, plus rien.
La bête était morte.
Il pourrait retourner annoncer sa mort aux dirigeants de Averheim et recevoir sa récompense.




Sicle 2 :
Chapitre V
La fin est proche.



Sa blessure était profonde, malgré sa volonté de fer, il faiblissait d‘heure en heure.
Son visage était pâle, le sang avait coulé sur sa selle et avait atteint l’encolure de son cheval, il devait être bientôt midi quand il arriva Hornau, petit village du Stirland.
Un fermier le vit incliné en avant sur son cheval, couvert de sang.
Il s’approcha et reconnu que c’était un Répurgateur.
Dieter tomba au sol, il lâcha un dernier grognement de douleur, et ses yeux se fermèrent.
Il les rouvris que bien plus tard, sa vision était flou, mais il pouvait quand meme distinguait qu’il était allongé sur un lit, une fenêtre en face de lui, il put alors distinguer qu’il faisait nuit.
Ses yeux portèrent leur regard sur la droite ou le Répurgateur put distinguer une jeune fille sur une chaise, il voyait encore flou mais distinguait sa beauté, elle l’enivrait, des frissons le traversèrent le long de l’échine, puis une voix vint interrompre son envoûtement, celle d’un homme, elle était roque, grave et usées.
Dieter parvint tout de même à comprendre ce que cet homme disait, « Allez femme ! Mes toi au travail et laisse moi avec lui. »
La jeune fille se leva et obéit sans un mot, il pris sa place et s’approcha du Répurgateur en me disant « Vous êtes dans un mauvais état, je vais… » le Répurgateur ne put entendre la suite et se replongea dans les ténèbres.
Sa voie était belle, tout comme elle, Dieter ne put saisir au début ce qu’elle disait mais finis par entendre, la jeune fille tout affolée lui dire de partir sans tarder, ses yeux ne lui jouaient plus de tours, il la voyait, sa longue chevelure au reflet blond, sa voix radieuse, sa petite poitrine qui lui donnée un charme en plus, elle était tout simplement la personne la plus belle qu’il avait vu de toute sa vie.
Se redressant tant bien que mal sur le lit, il dit à la fille de se calmer et de s’expliquer.
La fille reprit son souffle mais ne put retenir des larmes couler sur son visage.
Puis elle commença « Mon père.. Mon père veut vous…. » le Répurgateur sombra de nouveau dans les ténèbres pour se retrouver hors du lit, il venait de tomber lourdement au sol, tout ceci était un rêve, mais avant de se relever il resta le regard vide, sans aucune compréhension de ce qui venait de lui arriver.
Il réussi à se relever et vit par terre une tache de sang et un morceau de robes déchiré.
Tout devint clair pour lui, il eu une monté d’angoisse et serra les dents, ce n’était pas un rêve.
Du dehors, il entendit la voix de l’homme qui jurait, et insultait, le temps de mettre ses habits en vitesse et de sortir de la chaumière, Dieter entendit le feu d’un bûcher s’allumer, arrivant devant la porte, il l’entrouvrit.
La première chose qu’il vit était effectivement un bûcher puis il aperçu la jeune femme attachée dessus, criant, sans jamais s’arrêter.
Le répurgateur sortit affolé et dégaina son épée devant l’homme qui se tenait devant le feu.
Celui-ci prit sa fourche et chargea, malgré sa profonde blessure Dieter n’eut aucun mal pour éviter le coup et lui trancher la gorge.
Il se précipita sur le bûcher et détacha en vitesse la jeune femme.
Apres quelques minutes, il avait installé sur le lit d’où il s’était fait soigner et lui retira ses vêtements, encore fumant, et fit tout ce qui était en son pouvoir pour essayer de la soigner.
Son visage était fait de lambeaux carbonisée, sa chevelure au reflet d’or avait disparue, tout son corps était méconnaissable, sa poitrine était plus qu’un tas de chair calcinée, du sang avait couler le long de son entre jambe ce qui prouvait quelle avait été brutalement violer par son père.
Le Répurgateur était perdu, il ne comprenait pas tout cela.
Il avait vu beaucoup de personnes passer au bûcher mais il y avait toujours une raison valable comme pour les sorcières et tout ce genre de catégories.
Mais la, il restait muet, paralysé, terrorisé, Cette jeune lui avait fait un effet, énorme, et maintenant il la voyait, mourante, ses yeux avaient brûlées et ne présentaient plus qu’un liquide visqueux blanchâtre.
Etait-ce le sort réservé aux somptueuses personnes de ce monde ?
Dieter savait que le monde était cruel, que des viols entre familles avaient lieux, mais, pour cette fille dont il était fou, il ne voulait pas comprendre.
Des cris se firent entendre des autres paysans qui avaient assistés à la scène, allaient-il l’aider ?
Pour le Répurgateur la réponse était évidente.
Le peuple de l’Empire est décadent, il le devient plus chaque jours qui passent et rien ne pourra changer cela.
Il se leva, embrassa le front brûlé de la jeune femme et sortit.
Une dizaine de paysans était la, devant la chaumière, fourche et faux à la main.
Malgré sa blessure, Dieter se tenait droit, un vrai héros, faisant face à ces impures créatures.
Il avait son pistolet chargé et le serré dans sa main, une poigne ferme tenait ses deux armes, sa volonté était inébranlable désormais, Sigmar était de son côté, il le sentait, il était fier.
Mais fier de quoi ?
Fier de se retrouver face à ces infâmes paysans protégeant ce qu’il avait toujours voulut, son amour, celui-ci n’avait peut être jamais était réciproque mais, il y tenait.
Son pistolet tira les trois balles qu’il y avait chargées, sa précision fit, qu’il en tua trois.
Puis, lançant un long et puissant cris de guerre à ses ennemis, il chargea.
La lame en avant, ses yeux brûlant de fureur, il découpa la tête d’un premier, puis, une faux vint se planter dans sa jambes gauche, le faisant ainsi tomber à genoux, les paysans n’hésitèrent pas et le pilonnèrent de coups.
Le Répurgateur rugit tel une féroce bête, une dernière fois, puis, il finit par s’écrouler de tout son long.

Voila tout ce que j'ai écris, même si ça n'as pas de succès, je le mes quand même, merci pour les critiques au cas ou il y en aura.
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Lun 31 Mai 2010 - 7:14
J'ai pas le temps de le lire tout de suite, mais ça a l'air super bien ton truc Melkior
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Lun 31 Mai 2010 - 14:06
Merci =D
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Mar 1 Juin 2010 - 7:13
De rien...

Avant que les monolignes non constructifs se poursuivent dans ce sujet, je préviens que je scrutte....prêt à dégainer au cas où Wink Certaines choses auraient pu être échangées par MP. Merci de ne pas s'écarter trop loin de l'effort initial de cet article [P]

Ce que je peux te conseiller surtout, c'est de limiter les verbes êtres et d'utiliser des verbes d'états, le recit n'en sera que plus attrayant et bien écit (fais moi confiance)

Le bouton édit en haut à droite de tes messages permet de modifier ton message, lorsque c'est le dernier d'une discussion...merci de ne pas l'oublier Smile Ça ne se fait pas trop de poster à la suite, sans que d'autres interviennent dans la discussion entre-temps = c'est pour ça que la fonction "édit" existe Cool [P]
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Mer 2 Juin 2010 - 15:56
Ouais, je vais voir ce que je peux faire, merci d'avoir lu.
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